En pleine crise des gilets jaunes, le gouvernement a décidé de compliquer encore davantage la vie de ceux qui s’opposent à l’implantation de nouveaux parcs éoliens :
S’il y a des gilets jaunes qui, dans leurs campagnes, subissent les nuisances d’éoliennes et, après les promesses de Macron d’en tripler le nombre, redoutent d’en voir s’installer d’autres, la nouvelle suivante risque fort de décupler leur colère : par un décret publié au Journal officiel le 1er décembre – oui, le 1er décembre, il y a quatre jours, alors que les manifestants étaient plutôt en droit d’attendre un geste d’apaisement du gouvernement – François de Rugy vient de couper aux citoyens le moyen le plus simple de manifester leur opposition à tout nouveau projet d’implantation.
[…] Que dit donc ce décret ? Deux choses très simples : que les Tribunaux administratifs ne seront plus compétents pour juger des recours contre l’implantation d’éoliennes (article 23). Il faudra désormais passer par les Cours d’appel – qui sont souvent plus éloignées et qui, surtout, sont payantes. Une façon de tordre le cou aux petites associations locales, majoritairement démunies.
Et que, pour plus de précaution, le délai légal de protestation sera ramené de quatre mois à deux (article 24). Il faudra donc aller très vite pour étudier les centaines de pages du dossier du permis de construire et, éventuellement, décider d’engager la bataille. On souhaite bon courage aux maires ruraux et à leurs administrés.[…]
Gaudete
ce rugy il fait partie de la pourriture macronienne, des petits dictateurs qui se croient tout permis et ils se prétendent au service de la France Honte à ces ignobles personnages
Pierre-Jean
Macron et toute sa clique de petits freluquets veulent « transformer » la France. Mais moi je ne veux pas qu’on «transforme » (terme horrible et inquiétant) la France : je veux que la France reste la France, pour qu’elle puisse évoluer conformément à ses traditions. Macron et sa néfaste clique : du balai, et le plus vite sera le mieux.
DUPORT
Je vous relaie le témoignage d’une agricultrice, maire de son village, sur les dessous de l’escroquerie verte des éoliennes découverts à son niveau.
Elle ne connaît pas tout dans cette affaire car c’est en réalité un véritable scandale d’État avec collusion et corruption de nos plus hauts fonctionnaires.
Pour compléter vous pouvez vous procurer le livre d’ Alban d’ Arguin :
Éoliennes, scandale d’État Édition Synthèse
https://www.amazon.fr/%C3%89oliennes-scandale-d%C3%89tat-Alban-dArguin/dp/2367980365
Vous trouverez également une interview de l’auteur qui résume le problème politique ici :
https://www.youtube.com/watch?v=NUECB-YfHFc
Et un topo du même sur la corruption et l’aberration de ce choix imposé par l’U.E. :
https://www.youtube.com/watch?v=9xbXTkI3Zt0
Témoignage :
J’ai 35 ans et je suis agricultrice en Auvergne. Il y a deux ans, j’ai été contactée par une entreprise privée qui avait pour projet d’installer un parc d’éoliennes dans ma commune.
Je les ai reçus avec joie ! J’avais hâte de participer à un projet écologiste et d’apporter mon grain de sel à la fin du nucléaire.
Première surprise : je m’attendais à rencontrer un représentant de l’État, ou de la préfecture pour ce genre de projet (l’énergie est, il me semble, le bien de tous et nous sommes tous concernés). En fait, il n’en était rien : c’était bien une entreprise privée financée par des fonds de pensions étrangers qui était chargée du projet.
Un peu bizarre, mais, après m’être renseignée, je me suis aperçue que tous les projets étaient tenus par des boîtes privées qui prospectent un peu partout en France pour chercher des terrains où placer des éoliennes.
Je pensais donc que cette société voulait m’acheter un bout de terrain, un peu comme un promoteur immobilier « du vert ».
Deuxième surprise : la société envisageait effectivement d’implanter une éolienne chez moi, mais elle ne voulait « surtout pas » me déposséder de mes terres. Elle voulait seulement louer le terrain. Et cela, pour une somme absolument mirobolante : pour moi qui ai des revenus de 1500 euros par mois, on me proposait un loyer de 30 000 euros par an pour deux éoliennes implantées. Pendant 20 ans….30 000 qui tombent tous les ans et je participe à l’écologie nationale. Un rêve.
La société a insisté pour que je signe « rapidement », car d’autres agriculteurs pouvaient être aussi intéressés.
A 30 000 par an, je n’en doutais pas une seconde.
Mais …je suis auvergnate, et par nature, méfiante. J’en ai discuté avec …ma grand-mère. Elle a hoché la tête, et elle m’a dit : « ils veulent payer 75 fois le prix de la terre sans la posséder ?, ici ? Là où nos terres ne valent pas grand-chose ? « … « Il y a un loup quelque part ».
Alors j’ai cherché le loup. Et je l’ai trouvé en demandant un nouveau rendez-vous avec la société. Je leur ai demandé un contrat du bail. Et j’ai lu toutes les petites lignes.
Et voici la question que je leur ai posée : au bout de 20 ans, que se passe-t-il ?
Pas de réponse. Ou plutôt une réponse très floue : on ne sera plus là, car on revend nos implantations à des entreprises étrangères (chinoises notamment). Mais la loi nous demande de prévoir le démantèlement de l’éolienne. Nous provisionnons 50 000 euros.
Parce qu’au bout de 20 ans, une éolienne, elle est en fin de course.
OK. J’ai donc fait venir plusieurs entreprises spécialisées. Pour une éolienne de 200 mètres de haut, le coût minimum est de 450 000 euros par éolienne. A charge du propriétaire du terrain.
Et s’il ne peut pas payer ? Comme il s’agit d’une éolienne industrielle, l’État se retourne contre le propriétaire, puis contre la commune.
Je fais un rapide calcul : le projet d’ensemble comprend 7 éoliennes et ma commune 200 habitants.
450 000 x 7 = 3 millions 150 000 de dette.
J’ai la tête qui tourne… J’ai le vertige face à une telle dette.
Ça, c’était ma première découverte. Depuis, je suis allée de surprise en surprise.
Tout d’abord, je me suis demandé pourquoi cette société voulait implanter des éoliennes dans un endroit où il y a si peu de vent.
Réponses : en effet, il n’y a pas assez de vent. Qu’à cela ne tienne, nous allons construire des éoliennes beaucoup plus hautes. 200 mètres de haut. La taille de la tour Montparnasse.
Fort bien. Pour des éoliennes qui ne tourneront que 25 % du temps. Pas très rentable…Alors, comment se fait-il que des fonds de pension s’intéressent tant à l’éolien en France ?
Tout simple ! En France, une loi exige que l’énergie verte des éoliennes soit achetée en priorité deux fois le prix des autres énergies ( l’hydraulique, qui est pourtant totalement vert, n’a pas ce privilège ! )
Donc, c’est intéressant pour les investisseurs étrangers, sans doute en pleine complicité avec le gouvernement…car…qui paye cette différence ?
NOUS ! Sur votre facture EDF, il y a une petite ligne qui indique que nous « participons au développement de l’énergie verte »…en fait, nous finançons des actionnaires étrangers.
Ah oui ! Je ne vous ai pas tout dit ! Cette énergie est essentiellement destinée à être exportée. Donc pas du tout destinée à faire fermer les centrales nucléaires.
Ça, les actionnaires s’en fichent totalement. Moi pas. Je me suis livrée à un petit calcul : le développement de l’éolien en France va coûter 75 milliards d’Euros financés par nous-même pour détruire nos paysages, notre tourisme, la valeur de nos biens immobiliers et nos parcelles cultivables ( qui ne le sont plus quand on dépose 1500 tonnes de béton dans le sol pour y placer la tour Montparnasse).
Avec cet argent, l’état pourrait redistribuer à chaque français une part pour isoler dignement son logement. Nous pourrions ainsi fermer 18 réacteurs nucléaires. Mais ça, ça ne rapporterait rien aux actionnaires.
Pour finir, je tiens à préciser que je ne signe pas ce texte car j’ai reçu des menaces :
– D’agriculteurs, qui souhaitent « rafler les 30 000 euros par an sans réfléchir »
– Des sociétés de l’éolien, qui, plus subtiles, me proposent des « compensations » contre ….mon silence !
Sous couvert de « vert », on nous prend pour des jambons.
F. JACQUEL
Pour parodier Mme Roland, je me permets : “Écologie, que de crimes on commet en ton nom !”.
Et tout ça pour remplir encore plus les poches de JUPITER et de ses affidés.
??????
Esteban
Le saccage des terres agricoles fait partie du programme de ces (*) afin de nous priver des ressources essentielles et ainsi nous contrôler. La disparition de la ruralité est un fléau que nous avons tort d’éclipser car ça va induire des conséquences incalculables, jamais cela ne s’est produit dans l’Histoire ! On peut se remettre des guerres mais on ne se remettra pas de la bétonnisation de nos meilleures terres fertiles …