De Vivien Hoch :
"Après avoir saccagé le milieu hospitalier et étendu de manière considérable l’avortement en le rendant gratuit, anonyme et sans délai de réflexion (sic), la ministre de la « Santé » Marisol Touraine lance une campagne pour informer les femmes et lutter contre les idées reçues sur l’IVG, intitulée #IVGcestmondroit, avec une campagne Internet, une campagne publicitaire, des clips dégoulinants et un « Numéro Vert » – décidément, ce gouvernement lutte contre le terrorisme avec des Numéros Verts, et le pratique aussi avec des Numéros Verts.
Nous n’en sommes plus du tout à la circulaire Fontanet de 1973, qui voulait contribuer à « l’éveil de la responsabilité ». Nous en sommes à de la pure et simple propagande. La ministre affirme, ce matin, vouloir faire passer aux femmes un message (en passant, l’homme n’aurait-il rien à voir dans cette décision ?) : « La liberté de disposer de son corps ne se discute pas. Il ne doit y avoir ni pression, ni jugement. Ni désinformation. »
La désinformation ? C’est elle qui la pratique, lorsqu’elle lance cette campagne de propagande mortifère : Vous êtes dans le doute ? Venez vous rééduquer à moi, n’écoutez personne d’autre que le bienveillant État socialiste.
La pression ? C’est elle qui la pratique, lorsqu’elle interdit carrément tout ce qu’elle appelle des « entraves à l’IVG », c’est-à-dire toute opinion contraire à celle de la propagande officielle sur la question : sites Internet, Numéros Verts, articles, études et manifestations.
Le jugement ? C’est elle qui en démolit le principe même lorsqu’elle empêche ces femmes de prendre une décision rationnelle avec leur mari/copain/ami et leurs parents.
La liberté de disposer de son corps ? Quelle liberté lorsqu’il n’y a qu’un droit, qui est celui de pratiquer l’IVG : « IVG, c’est mon droit » ? On ne peut qu’halluciner en lisant l’expression « mon droit »… L’enfant n’est pas mon droit, que l’on peut obtenir à la demande, comme au supermarché. C’est un fait, qui s’impose à ma reconnaissance, à mon accueil et à ma responsabilité."
Finalement, la femme n'a plus qu'une option : éliminer son bébé et porter celui d'un autre couple.
DUPORT
C’est une pratique constante qu’ils ont de dénoncer tout en faisant tranquillement ce qu’ils dénoncent.
Souvent ils accusent même les opposants de faire ce qu’ils dénoncent alors que ce sont eux qui le font.
On retrouve cela, par exemple, dans les accusations sans cesse répétées de fascisme en direction de la droite alors que tous les gouvernements fascistes sont socialistes, y compris l’actuel, avec même ses milices “chemises noires” baptisées d’ailleurs “antifas”…
En général on reste bouche bée devant tant d’agressivité, de mensonges et de culot, or c’est exactement le but recherché
Comment répondre à des gens qui vous parlent de “disposer de son corps” alors que justement ils disposent du corps d’autrui ? C’est difficile d’argumenter puisqu’ils falsifient le débat d’entrée de jeu !
Dans un second temps ils empêchent systématiquement tout débat, en empêchant de parler, en coupant la parole, en éructant, en hurlant, en s’indignant etc. Toutes attitudes qui visent un seul but : « vous empêcher de rétablir la vérité ».
D’ailleurs quand vous provoquez un tollé ce ne sont pas les gens eux-mêmes qui éructent, mais les démons qui sont en eux et je vous le dis parce que je les vois !
C.B.
Et encore “La liberté de disposer de son corps” je veux bien (tu veux te faire enlever un doigt, un morceau de poumon, de la moelle osseuse, un lobe d’oreille OK, ton corps t’appartient!).
Mais là, le mensonge énorme, c’est que ces cellules (œuf, contenu du sac utérin pour employer leurs termes) ne SONT PAS une partie du corps de la candidate à l’amputation: une simple analyse du patrimoine génétique (voilà de belles recettes en perspectives pour les laboratoires) de ces cellules, comparé au patrimoine génétique de cellules du doigt, de l’oreille, … montre qu’ils ne sont pas identiques.