Il y a un filon : Un homme qui se prend pour une femme (ou qui fait croire qu’il se prend pour une femme) a provoqué un scandale dans le monde du sport en battant quatre records mondiaux d’haltérophilie.
Alors, au risque de passer pour transphobe (sic), des sportives s’élèvent contre la participation de transgenres aux compétitions. L’une affirme sur Twitter:
«Tous les records établis par une femme transgenre (un homme né avec une biologie et des avantages masculins) doivent être effacés lorsque toute cette confusion et cette injustice sont compris.»
«C’est une femme transgenre, un corps masculin avec une physiologie masculine, qui établit un record mondial et remporte une compétition féminine en haltérophilie en Amérique. Une femme avec une biologie féminine ne peut pas rivaliser. C’est un terrain de jeu injuste et inutile».
Vous l’avez compris : en sport, il n’y a pas d’égalité homme femme…
Une autre athlète olympique britannique, Kelly Holmes, a affirmé qu’elle «se préparait à ce que les femmes biologiques boycottent certains événements».