Lu sur le site de la médaille de la famille française :
"La violence faite aux femmes ! Qui ne serait indigné et n’adhérerait bien volontiers à toute mesure pour l’éradiquer. […] Le 11 mai 2011, une Convention sera soumise à la signature des ministres des Affaires Etrangères des 47 Etats membres [du Conseil de l'Europe]. Le document, après avoir rappelé en préambule les innombrables décrets, résolutions, rapports et textes de loi particuliers ou généraux déjà parus sur le sujet propose –et bientôt impose- en 39 nouvelles pages, de nouvelles dispositions certainement plus efficaces. Parmi elles, habillée sous le concept que nos lecteurs connaissent déjà, de sensibilisation au «genre», le CE propose purement et simplement de supprimer le concept même de nature féminine, il fallait y penser !
[…] Dans ce long texte adopté le 11 avril à Istanbul, l’expression «violence fondée sur le genre» revient sans cesse. Rappelons que la notion de genre consiste à nier la réalité naturelle de la différence sexuelle et à la réduire à une construction culturelle et sociale, donc modifiable à volonté. Cette notion était difficile à imposer ex abrupto, mais instillée sous le prétexte d’une aussi noble cause que la violence faite aux femmes, c’est l’assurance de la faire admettre sans coup férir. Elle trouve ainsi ses lettres de noblesse dès le préambule qui affirme que «la nature structurelle de la violence à l’égard des femmes est fondée sur le genre». Celui-ci est défini officiellement à l’article 3 de la Convention :
«Définitions : c le terme «genre» désigne les rôles, les comportements, les activités et les attributions socialement construits, qu’une société donnée considère comme appropriés pour les hommes et les femmes ;
d le terme «violence à l’égard des femmes fondée sur le genre» (ndlr : terme qui revient sans cesse dans le texte) désigne toute violence faite à l’égard d’une femme parce qu’elle est une femme ou affectant les femmes de manière disproportionnée» ;Une fois admise cette perspective, les Etats sont invités à s’assurer «que les autorités, les fonctionnaires, les agents et les institutions étatiques, ainsi que les autres acteurs qui agissent au nom de l’Etat se comportent conformément à cette obligation». (I-5)
Quelles obligations ? Mettre en œuvre des «politiques sensibles au genre» (I-6). En quoi consisteront ces politiques ? «Promouvoir les changements dans les modes de comportement socioculturels des femmes et des hommes en vue d’éradiquer les préjugés, les coutumes et les traditions et toute autre pratique fondés sur l’idée de l’infériorité des femmes ou sur un rôle stéréotypé des femmes et des hommes». (III-12) Comment ? En introduisant ces notions dans tous les programmes d’étude officiels et «à tous les niveaux d’enseignement» (III-14), avec le soutien du secteur privé et des médias."
claude Timmerman
Il est évident qu’à force de vouloir particulariser, on finit par entrer en contradiction avec l’uniformisation reine qui est au coeur du débat…
En effet, accepter (ou promouvoir)la théorie du “genre” revenant à nier la loi naturelle de séparation des sexes, on ne peut stignatiser en même temps des violences particulières “faites aux femmes”!
C’est simplement de la logique!
Il fallait s’attendre à cela!
Outre que l’on oublie des cas pourtant tout aussi connus et parfaitement intolérables: ceux des lesbiennes qui sont tabassées par leur copine, des homos qui tabassent leur giton…voire des pauvres maris hétéros qui sont agressés par leur mégère d’épouse…
Comme la vie devient difficile quand on s’éloigne de la charité et des dispositions de la Loi Naturelle!
Sancenay
Il y a encore un an lorsqu’on avançait tranquillement , m^me ici, sur le Salon Beige, que la machine à égaliser par excellence, la guillotine, était la pierre angulaire , la référence sémantique de la pensée -du moins ce qui en tient lieu- du Système, on semblait fortement déranger les “bonnes gens” , ceussent , par exemple, qui trouvent , la référence au Sacré-Coeur un peu trop hardie,pas très tendance, pas très “com”, n’est-ce pas les “Padre” ?
Aujourd’hui, il n’y a photo et je crois bien
qu’il va falloir enfin choisir entre le courage associé à la fidélité et la tête dans le sable, soeur de la trahison.
Marie la Bretonne
A pas de loups, mais de plus en plus visiblement, la police de la pensée se met en place, pour forcer les gens à penser comme les pourris qui nous gouvernent, “pour modifier les mentalités” comme ils disent.
Bientôt, si on les laisse faire, les mots “homme” et “femme”, “garçon” et “fille” seront tabous. Quant au récit de la Genèse, ils le jetteront au feu.
Quelle habileté dans la manoeuvre, et quelle perversité ! On voit que tout cela est inspiré par Satan.
Cela fait froid dans le dos.
Néanmoins, courage, Jésus-Christ Notre Sauveur les a déjà vaincus, et si les forces du Mal se déchaînent autant depuis quelques années, c’est bien parce que leur défaite définitive est pour bientôt et que cela les enrage.
Coeur Sacré de Jésus, que Votre règne arrive, par le Coeur Douloureux et Immaculé de Marie !
benoit
Supprimons en premier lieu l’avortement et la contraception. C’est la plus ignoble violence faite aux femmes !
Quoi de pire que de les empêcher d’enfanter ?
Quoi de pire que de leur faire croire que tout cela est légal et finalement un soit disant droit, alors même que volontairement, on n’informe pas les femmes de la réalité criminelle d’un avortement ou de la dangerosité de la pilule ?
Daquin
Que va faire Juppé (Sarkozy) ?
Bernard S
Pour supprimer la violence faite aux humains, supprimer le conseil de l’europe et l’onu.