"Le département de sociologie de l’Université de New-York vient de publier une étude après avoir demandé à 1.600 adultes s’ils avaient, eux ou quelqu’un de leur entourage, eu recours à l’avortement. L’étude révèle que les femmes ayant subi un avortement avaient plus tendance à se confier à des personnes pro-IVG qu’à des personnes opposées à l’avortement."
La raison majeure en est que les femmes qui ont eu recours à l'avortement craignent un jugement de la part des "pro-vie". Abby Johnson, qui était directrice d'une clinique du Planning familial, s'est convertie à la lutte pro-vie après avoir assisté à un avortement aux ultrasons. Elle conseille les pro-vie qui veulent apporter leur soutien aux femmes qui choisissent l'avortement de faire attention aux mots employés :
"« Elles ne se tourneront pas vers un mouvement qui utilise des mots comme « meurtriers », « tueurs d’enfants » en toute occasion. Nous les atteindrons avec notre douceur, notre compassion et notre gentillesse".[…]
Le traumatisme laissé par un avortement est tel qu'il faut beaucoup de compassion et choisir les mots justes pour aider ces femmes et ne pas les accabler encore plus.