Son film diffame les Croisés, présentés comme des "butors sanguinaires" d’après le Figaro. Personne ne va nier que les Croisades aient connu des heures sombres, en premier lieu le sac de Constantinople.
Mais ceux qui ont ressenti l’appel de se rendre aux obsèques de Jean-Paul II, sans planifier, sans calculer, sans se soucier de leur logement ou de comment ils mangeraient, arrivent sans doute à mieux comprendre la pureté de l’élan fondamental des Croisades. Sur le net, on trouve :
– Un vigoureux éloge des Croisades par le cardinal Pie (ici, puis descendre d’une petite dizaine de paragraphes.)
– Sur le site de DICI, une défense qui date de 1912, mais est toujours d’actualité.
– De bonnes synthèses sur Wikipédia, par exemple sur la figure lumineuse de Godefroy de Bouillon.