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Pourquoi c’était mieux avant ? Ce que nous avons perdu

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Dans son nouveau livre, Patrick Buisson, politologue, essayiste et auteur d’une œuvre monumentale de plus de 500 pages, “La fin d’un monde”, nous explique comment la petite bourgeoisie éduquée a fait basculer un monde des passions françaises vers le progressisme absolu. Il revient sur les “quinze piteuses” que représentent les années 1960-1975, et qui ont entamé l’écroulement moderne.

Est-il possible de retrouver cet ancien monde ? Patrick Buisson pense que oui.

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1 commentaire

  1. Il est évident que le progressisme libéral est un échec. Echec parce que essentiellement matérialiste. Dire qu’avant c’était mieux est une illusion et une tromperie. La raison commande qu’il ne faut pas reproduire les échecs. Il faut innover. Car, notre “progressisme” à tuer la nature, la vie, nos âmes et Dieu. Nous devons revenir à l’essentiel qui fait la Vie. Ce serait là un vrai progrès. Nous nous sommes trompés de chemin.

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