Ennasri Nabil, président du Collectif des Musulmans de France (CMF), écrit sur Havre de savoir :
"Pourquoi parle-t-on de Merah comme s’il avait effectivement été le responsable de tous ces meurtres ? Que je sache, la justice n’a pas encore rendu son verdict ? En parlant d’“assassin“, de “monstre“ et de “tueur“, comment les plus hautes autorités de l’Etat peuvent se permettre à ce point de fouler aux pieds la règle élémentaire de la présomption d’innocence ? Parce qu’en l’occurrence le présumé avait tout pour être désigné comme le coupable idéal ?"
Sans blague.
Buffalo
Mais bien sûr, c’était un petit agneau innocent, le petit Mohammed. Quand les policiers sont venus le cueillir , il s’est gentillement barricadé chez lui et a obligeamment brûlé des centaines de cartouches sur les hommes du RAID. Petit être chétif et sans défense…
Jacques
Mais oui ien sûr, et d’ailleurs je vais maintenant m’offusquer de ce que certains osent reprocher à Hitler les crimes de la seconde guerre… Arrêtons un peu.
Oui il faut défendre la présomption d’innocence. Mais il serait difficile de dire que Hitler est mort innocent!
De la même manière Merah est certes mort sans procès, mais d’une part il a revendiqué les faits, les a reconnus, indiquant même qu’il regrettait de ne pas avoir pu faire plus de victimes, et d’autre part, il semble qu’un certain nombre d’éléments sont venus etayer ses dires.
Christian
On reconnait aisément le raisonnement musulman, exclusivement base sur “la lettre”. Et avec tout ça il y en a encore qui ne voient pas le choc des civilisations. Je prie pour que mes filles ne soient pas contraintes d’épouser un musulman dans 10 ou 15 ans.
Nabulione
Cette question est très mauvaise, d’autant que l’on peut y répondre très facilement : Merah a lui-même revendiqué ses assassinats !
Mais les autres sont particulièrement intéressantes, je trouve. Oui, il y a une énigme Merah et je penche pour un “indic” qui a voulu se racheter en s’offrant le martyr, ce qui n’est guère réjouissant, il faut le reconnaître…
Serge
M. Merah n’a-t-il pas de lui même avouer être l’auteur de ces crimes ? Auquel cas il est bien un monstre de même pour ses complices si complices il s’avère y avoir !
Majeur
Ce ne sont pas des propos d’impudeur mais des propos d’un putride.
Bertrand
Et on veut nous faire croire qu’il y a un islam de France !!!!!
Oui le Coran est d’une violence inouïe
« Quand le judaïsme et le christianisme sont des religions dont les rites conjurent la violence, la délégitiment, l’islam est une religion qui , dans son texte sacré même, autant que dans certains de ses rites banals, exalte violence et haine .
Haine et violence habitent le livre dans lequel tout musulman est éduqué, le Coran . »
Ces affirmations viennent de la tribune rédigée par Robert Redeker dans le « Figaro ». Quand j’entends les dhimmis comme Villepin, ou De Robien se sentant obliger de défendre du bout des lèvres la liberté d’expression tout en sous-entendant que ce professeur de philosophie était trop vérulent, dépassait les limites autorisées pour un fonctionnaire de l’Etat en oubliant sa « modération », qu’il ne faut pas oublier le respect…sans oublier Boubakeur qui nous refait le coup de l’amalgame* je ne peux m’empêcher de vous donner en vrac un extrait de cette violence dénoncée par ce courageux professeur et d’une honnêteté intellectuelle qui se fait tellement rare aujourd’hui :
Sourate V, 51: O vous qui croyez! Ne prenez pas pour amis les Juifs et les Chrétiens ; ils sont amis les uns des autres. Celui qui, parmi vous, les prend pour amis, est des leurs. Dieu ne dirige pas le peuple injuste.
sourate II, 191 : Tuez les partout où vous les rencontrerez ; chassez-les d’où ils vous auront chassés. La sédition est pire que le meurtre. Ne les combattez pas auprès de la Mosquée sacrée, à moins qu’ils ne luttent contre vous en ce lieu-même. S’ils vous combattent, tuez-les: telle est la rétribution des incrédules .
Sourate IX, 29: Combattez ceux qui ne croient pas en Dieu et au Jour dernier ; ceux qui ne déclarent pas illicite ce que Dieu et son prophète ont déclaré illicite; ceux qui, parmi les gens du Livre ne pratiquent pas la vraie Religion. Combattez-les jusqu’à ce qu’ils payent directement le tribut après s’être humiliés .
Sourate IV, 84 . Combats donc dans le sentier d’Allah, tu n’es responsable que de toi-même, et incite les croyants (au combat) Allah arrêtera certes la violence des mécréants. Allah est plus redoutable en force et plus sévère en punition.
Sourate IV, 89. Ils aimeraient vous voir mécréants, comme ils ont mécru : alors vous seriez tous égaux ! Ne prenez donc pas d’alliés parmi eux, jusqu’à ce qu’ils émigrent dans le sentier d’Allah. Mais s’ils tournent le dos, saisissez-les alors, et tuez-les où que vous les trouviez ; et ne prenez parmi eux ni allié ni secoureur.
Sourate IV, 95. Ne sont pas égaux ceux des croyants qui restent chez eux – sauf ceux qui ont quelques infirmités – et ceux qui luttent corps et biens dans le sentier d’Allah. Allah donne à ceux qui luttent corps et biens un grade d’excellence sur ceux qui restent chez eux. Et à chacun Allah a promis la meilleure récompense; et Allah a mis les combattants au-dessus des non-combattants en leur accordant une rétribution immense ;
Sourate VIII, 39. Et combattez-les jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus d’association, et que la religion soit entièrement à Allah . Puis, s’ils cessent (ils seront pardonnés car) Allah observe bien ce qu’ils oeuvrent.
Sourate IX, 123 . Ô vous qui croyez ! Combattez ceux des mécréants qui sont près de vous ; et qu’ils trouvent de la dureté en vous. Et sachez qu’Allah est avec les pieux.
Sourate XXXVII, 4 Quand vous rencontrerez les infidèles, tuez-les jusqu’à en faire un grand carnage , et serrez les entraves des captifs que vous aurez faits.
Sourate VIII, 17 Ce n’est pas vous qui les avez tués : mais c’est Allah qui les a tués . Et lorsque tu lançais (une poignée de terre), ce n’est pas toi qui lançais : mais c’est Allah qui lançait, et ce pour éprouver les croyants d’une belle épreuve de Sa part ! Allah est Audient et Omniscient.
Sourate III, 56 Quant à ceux qui n’ont pas cru, Je les châtierai d’un dur châtiment , ici-bas tout comme dans l’au-delà; et pour eux pas de secoureurs.
Sourate II, 85 Quiconque cherche une autre religion que l’Islam ne sera pas accepté.
Sourate III, 151 Nous jetterons l’effroi dans le cœur des incroyants.
Sourate VIII, 55 Les pires bêtes, aux yeux d’Allah , sont les incroyants qui s’entêtent à ne pas croire.
Sourate XX, 16 Les incroyants qui nient nos signes et la rencontre de l’autre vie seront dans le tourment.
Sourate XXXIII, 16 Ils auront un nuage de feu sur eux et sous eux.
Sourate XXXIII, 64 Allah maudit les incroyants, il leur a préparé un brasier.
Sourate XXXV, 39 L’incroyance des incroyants ne fait qu’accroître l’horreur qu’Allah avait d’eux.
Sourate XXXVIII, 27 Malheur aux incroyants, à cause du feu.
Sourate XXV, 52 N’écoute pas les incroyants, combats-les rudement avec ce Coran
Etc, etc,…
Que les musulmans qui pensent sincèrement que les non-musulmans sont intolérants et irrespectueux envers eux ouvrent et lisent le Coran. (Ils sont si nombreux à ne pas le faire par peur et à cause du « sacré » de ce livre !). Voyez quel «Dieu » auquel vous croyez : un “Dieu” qui dresse une partie de l’Humanité contre l’autre et qui hait lui-même ceux qui ne croivent pas en lui ! Un « Dieu » qui préfère un croyant combattant et meurtrier au croyant paisible !
Et pour les dhimmis involontaires qui ont oublié de penser, lisez ces sourates guerrières et pleines de haine.
Robert Redeker est menacé de mort pour avoir dit vrai : Le coran est d’une violence inouïe. Et cette violence concerne tous les non-musulmans et tous les musulmans considérés comme de mauvais musulmans parce qu’ils n’observent pas scrupuleusement les lois coraniques.
religion de paix d’amour etc
senex
MAL renseigné Nabil.Ces propos ont été tenus par Boubaker et un rabbin après l’horrible meurtre.Les plus hautes autorités des religione concernées…auraient du attendre la fin du procès,dans quelques années….
Christophoros
Un petit clin d’œil à Mr JANVA:
En définitive, ce “pourquoi” est certainement une bonne bonne question.
Concepteur de schémas tactiques il me semble bien en reconnaitre un bon (techniquement).
On peut le découvrir assez bien décrit sur:
http://www.postedeveille.ca/2009/09/le-terrifiant-g%C3%A9nie-de-lislam.html#more
Même si à titre personnel je réfute son analyse matérialiste de la religion chrétienne, analyse qui se prête très bien par contre à l’Islam.
C+
C.B.
En utilisant le même raisonnement, puisqu’Adolf Hitler n’a jamais été condamné par un jugement rendu par un tribunal (si ce n’est bien avant son accession au pouvoir en Allemagne), on devrait donc le considérer comme présumé innocent? Comment peut-on dans ce cas “se permettre à ce point de fouler aux pieds la règle élémentaire de la présomption d’innocence”?
Olivier
Si l’on ne connait pas la religion islamique, on est choqué d’entendre la communauté musulmane soutenir le terroriste Mohamed Merah, au premier rang desquels le père du tueur, là où un occidental ressentirait de la honte et du mépris.
Il faut savoir que l’islam se pose en victime de l’occident, alors qu’il l’agresse depuis le 7ème siècle, allant jusqu’à envahir la moitié des terres chrétiennes au nom d’une hypothétique « revanche ». Car le Coran est explicite: tout ce qui appartient aux « infidèles » (les chrétiens et les juifs) revient de droit aux « fidèles » (les musulmans).
On comprend mieux alors cette attitude de conquête et ce sentiment de supériorité que les musulmans arborent en toute circonstance…
Le discours récurrent de l’islam pour justifier sa violence est qu’il agirait en état de légitime défense. Les intellectuels qui souhaitent donner de leur religion une image modérée insistent fortement sur ce point, qui sous l’apparente évidence appelle en fait beaucoup de questions. On est tout d’abord surpris que l’islam ait ainsi définitivement conquis une bonne moitié de l’espace chrétien d’origine en simple réponse à une « agression » chrétienne.
Plus profondément, les travaux du Père Edouard-Marie Gallez ont montré que le caractère « victimaire » du musulman provient de la conscience de sa mission et se comprend du fait de la dérive judéo-chrétienne où l’Islam s’enracine. C’est d’abord Jésus qui est l’innocente victime – ce qui est au cœur de la doctrine chrétienne – mais au sens où il n’a pas pu réaliser la mission de sauver le monde qui était la sienne, et que ses « vrais » disciples devraient réaliser à sa place. Même si cette dimension nazaréenne (et coranique) n’est plus comme telle présente à la conscience des musulmans, il en reste l’essentiel : le musulman est choisi par Dieu pour instaurer Son ordre et Son salut. Donc, s’il en est empêché, il est victime. En fait, l’existence même des non-musulmans constitue pour l’islam une agression contre laquelle les musulmans seraient en droit de se défendre.
Le discours islamique qui suit généralement chacune des violences majeures commises en son nom est suffisamment stéréotypé pour être décodé. Après quelques phrases embarrassées de condamnation de l’acte au nom du fait qu’il serait « évidemment » contraire aux préceptes de l’islam, s’ensuit une déclaration selon laquelle cette religion en serait en fait la principale victime. Le reste du monde, en effet, ne manquera pas d’en profiter pour procéder à un « amalgame » hâtif des modérés et des extrémistes et à la « stigmatisation » d’une religion « d’amour et de paix ». À peine un meurtre ou un attentat a-t-il été commis au nom de l’islam que ses autorités le justifient ex post par la condamnation excessive et déplacée qui va en être faite. Qu’on se souvienne de l’égorgement en pleine rue du cinéaste hollandais Théo Van Gogh : les autorités islamiques du pays ont bien sûr condamné le crime, mais aussitôt atténué cette condamnation par l’affirmation que le malheureux aurait, par l’un de ses films, « provoqué l’islam » (donc en quelque sorte mérité son sort), et protesté que l’islam serait la première victime de cet événement. A la date anniversaire des attentats du métro londonien, le quotidien La Croix titrait : « Un an après les attentats de Londres, les mosquées n’ont jamais été aussi pleines ». Et de décrire la « stigmatisation » dont se sentiraient victimes les musulmans britanniques à la suite de ces attentats, laquelle serait cause de la radicalisation d’un nombre de plus en plus grand d’entre eux. Un sondage réalisé dans la communauté musulmane britannique après les attentats donnait les résultats suivants : 10 % des personnes interrogées les approuvent, 25 % soutiennent la guerre sainte contre l’Occident, plus de 30 % préféreraient vivre sous la sharia (loi islamique), et près de 70 % estime que la lutte contre le terrorisme n’est que le prétexte d’une nouvelle croisade… Le même journal titrait encore : « Cinq ans après le Onze Septembre, les musulmans de France sentent le poids des regards ». Dans cet article, l’intellectuel Tarik Ramadan s’indignait de ce que ceux de ses coreligionnaires qui choisissent de manifester publiquement, par leur tenue, leur appartenance à l’islam fondamentaliste, soient l’objet de regards appuyés.
On cherche bien sûr à comprendre, et l’on ne peut alors que trouver particulièrement éclairante cette sentence d’Oussama Ben Laden : « croire en l’hostilité des infidèles est un acte de foi ». L’agression des « infidèles » serait donc une donnée primordiale, « irréfragablement » présumée, intrinsèquement constitutive de la perception que le croyant doit avoir de ceux qui ne partagent pas sa foi. C’est le mouvement perpétuel de la violence : apriori suscitée par le devoir de croire absolument que les non-musulmans (et particulièrement les Juifs et les Chrétiens) cherchent à nuire à l’islam, elle génère chez ces derniers une réelle hostilité, qui justifie a posteriori de nouvelles violences. Comme le surrégénérateur Superphénix, l’islam nourrit son énergie de ses propres déchets. Là encore, les références coraniques sont avérées : « ce sont eux qui vous attaqués les premiers » (IX, 13) ; « vous les aimez, et ils ne vous aiment pas et vous croyez dans le Livre tout entier » (III, 119).
Cette certitude, fondatrice de son identité, qu’a l’islam d’être en butte à l’hostilité de tous, le conduit à rechercher toujours, anxieusement et fébrilement, ce qui pourra nourrir un discours victimiste légitimant sa violence. Il est frappant que les propositions de dialogue qui émanent du monde musulman comportent systématiquement une réserve qui les réduit de fait à néant : l’exigence préalable que l’interlocuteur reconnaisse une culpabilité de principe et/ou s’abstienne absolument de toute critique de l’islam. La déclaration remise à Benoît XVI par 138 théologiens musulmans est à cet égard caractéristique, qui soumet le dialogue à la cessation immédiate de toutes les violences chrétiennes vis-à-vis de l’islam : « En tant que musulmans, nous disons aux chrétiens que nous ne sommes pas contre eux et l’Islam n’est pas non plus contre eux – tant qu’ils ne déclarent pas la guerre aux musulmans à cause de leur religion, qu’ils ne les oppriment pas et qu’ils ne les expulsent pas de leurs foyers ». Sous-entendu : c’est ce qu’ils font et que ne font pas les musulmans. Je retrouve par hasard, en rédigeant cet article, une déclaration de Rachid Benzine dans LaCroix, où le très modéré « chercheur en herméneutique coranique » affirme que le préalable à un travail critique sur le Coran en France serait « que cessent toutes ces « affaires », celle des caricatures, de Benoît XVI à Ratisbonne, et maintenant de cet enseignant en Philosophie (Robert Redeker) ». En résumé, tant que quelqu’un dans le monde, qu’il soit pape, ou simple journaliste ou professeur, tiendra des propos qui déplaisent à l’islam, celui-ci ne pourra nulle part entamer son travail de réforme. S’il faut, pour que l’islam consente à remettre en cause sa violence, que deux milliards de chrétiens se comportent tous comme des saints, on ne peut qu’être sceptique sur le résultat : il trouvera toujours de quoi justifier un discours victimiste légitimant à ses yeux sa violence. « Les musulmans sont sartriens sans le savoir » écrit le psychanalyste tunisien Hechmi Daoudi : « pour eux, l’enfer c’est toujours les autres »
Retrouvez la totalité de l’excellente analyse de Jean-François Chemain sur le site de liberté politique: http://www.libertepolitique.com/L-information/Decryptage/Victimisation-et-violence
siloe08
Havre du savoir est en fait la “vitrine” bien comme il faut de forsane alizane, organisation qui a été ‘dissoue” par le Ministre de l’Intérieur C.Guéant il y a peu.
forsane alizane est en lien très étroit avec sharia4belgium, ils n’ont rien de modérés. Comme le montre les video l’orque vous tapez ce nom dans votre navigateur vidéo.
Ces gens étaient présents sur les manifs Catholiques de l’automne 2011, mentant ouvertement pour l’Islam etc…
Ce sont des salafistes, oui mais “modérés”.
Qu’en à l’énergumène il sait condamnés lui-même, de sa propre volonté dont acte.
Veillons et Prions.
+PAX.
PEB
Avec l’action publique, la présomption d’innocence, qui est essentiellement une règle de procédure relative aux droits du suspect, s’éteint avec le décès.
La protection juridictionnelle ne s’étend effectivement que sur les vivants puisqu’on ne saurait juger les trépassés.
De la même manière, la liberté d’expression reprend ses droits dès lors que l’instruction criminelle perd son principal sujet.
http://www.maitre-eolas.fr/post/2012/03/22/Quelques-mots-sur-l-affaire-Merah
Claribelle
Le problème est que comme M.Merah est mort, il n’aura pas de procès donc il ne sera jamais jugé, ni condamné, ni reconnu judiciairement coupable…
Cela arrange à la fois ceux qui le croient coupable (même condamné à perpétuité, il serait sorti au bout de 30 ans maxi, peut-être moins) et ceux qui le croient innocent ou qui voudraient le faire passer pour “martyr” (pas de procès, donc pas de culpabilité formelle).
yorgos
Alors là ! Ben, c’est de l’humour islamique !
Faut s’y faire…