Vous le saurez en visitant le nouveau site d’informations lancé par Hugues Kéraly : sedcontra. Hugues Kéraly présente son projet :
"Il y a ceux qui entrent en rébellion contre les idées du siècle par esprit de contradiction, arrogance, misanthropie ou instinct de survie… Ceux qui savent tout d’avance… Ceux qui tiennent mordicus à surprendre dans les dîners mondains…
Il y a ceux aussi qui ont lu, compris et retenu un argument original, hors consensus médiatique, voire interdit d’antenne (donc “politiquement incorrect”), et qui s’efforcent tant bien que mal d’en faire profiter le voisin…
Il y a ceux enfin qui se servent directement de leur tête (ça peut faire assez mal) pour y produire une pensée autonome… Une raison de ne pas reproduire les non-raisons des autres sur tel ou tel sujet… Une raison d’examiner la raison contraire, chère à tout intellectuel respectueux de son ordre et de son état, et comme consubstantielle au statut de l’apprenti philosophe digne de ce nom. C’est l’attitude du chercheur de sens, son “insolence” au sens propre, sa liberté de penser tout seul que les référents dictés au grand nombre n’emportent pas nécessairement raison. C’est le royaume du sed contra… "
Rob Bordeaux
Pourquoi continuer de discuter avec un Soral?
Je ne connais pas ses écrits ni son “oeuvre”. Je ne sais pas ce que lui et ses amis sont venus chercher dans nos rangs.
Ce que je sais, c’est qu’il utilise une méthode forte efficace pour diviser notre famille politique: la rumeur et le dénigrement.
Ne nous laissons plus diviser toujours un peu plus par un Soral venu directement des rangs de nos ennemis et qui crache allégrement mais habillement sur des camarades.
Nous avons la responsabilité individuelle de ne pas nous laisser entraîner par un pseudo intellectuel mais vrai agitateur.
Nous n’avons pas besoin des analyses ou des théories de Soral, nous savons depuis bien longtemps pourquoi et pour qui nous combattons.
Ne laissons pas la discorde et le venin se répandrent dans nos rangs.
Et Toi Soral si c’est pour cela que tu es venu nous rejoindre… Retournes d’ou tu viens