… selon Libération :
Au final, l’accord de Bruxelles est inespéré, puisque l’essentiel des avancées de la Constitution sont sauvegardées, même s’il est horriblement complexe […]. Echaudés par l’échec du traité constitutionnel, dont la rédaction avait été confiée à une Convention composée de parlementaires et de représentants des Etats, oeuvrant en toute transparence, les Etats sont revenus aux bonnes vieilles méthodes des négociations secrètes et des ratifications parlementaires. Nicolas Sarkozy estime que ce dernier point est essentiel : «Tout d’un coup, la France pouvait dire : "S’il y a un traité simplifié, on le fera ratifier par voie parlementaire."»