Lundi 25 janvier, une vingtaine d’étudiants, responsables d’associations, imams ou aumôniers musulmans ont reçu leur diplôme …. à l’Institut catholique de Paris :
"Messaouda Houha est l’une des six femmes à avoir reçu lundi soir 25 janvier le diplôme universitaire « interculturalité, laïcité et religions », remis par François Bousquet, vice-recteur de l’Institut catholique de Paris. À 47 ans, cette mère de cinq enfants, arrivée il y a neuf ans de son Algérie natale, fut d’abord aumônier de prison agréée. Elle est désormais aumônier militaire, à l’hôpital militaire de Lyon et à l’École de santé"
Crockett
Ben voilà , comme ça le loup est dans la bergerie…
SD
Et pendant ce temps, les persécutions de chrétiens continuent dans le monde musulman, avec le soutien des élites politiques, intellectuelles et religieuses de France : en parle-t-on dans les cours de la catho ?
http://www.bivouac-id.com/2010/01/28/somalie-un-leader-chretien-abattu-par-les-islamistes-pour-avoir-quitte-lislam/
gm
Il faut vraiment avoir une bonne dose de naïveté (ou le désir d’ajouter sa participation à la destruction de la chrétienté) pour des “cathos” de former et (de diplômer) des aumoniers de religion musulmane !
Une bonne raison pour “coller” à la poubelle leur demande de fonds !
Qui dirige cet organisme ?
Nos évêques y ont-ils une quelconque autorité ?
Gustave Minet
C’est déjà par une torsion assez déloyale du sens traditionnel du mot “aumônier” que l’on a parlé d’aumôniers laïques. Mais des “aumôniers musulmans”, Seigneur ! Pourquoi pas des imams catholiques ? De la part de l’institut catholique, remettre des diplômes à des non-catholiques est, de toute manière, la preuve que l’on y enseigne des choses qui ne sont pas très catholiques. Mais il y a là, hélas, une logique pour qui pense que le vrai catholicisme est d’être “universel”, c’est-à-dire opposé au purement catholique, comme à toute sorte d’exclusivisme fanatique et totalitaire. Il ne faut pas s’imaginer posséder la vérité, sauf bien sûr, la vérité sur la vérité, qui est, à coup sûr et infailliblement qu’il n’y a pas de vérité…