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France : L'Islam en France

Prières dans la rue : quelle solution pour les musulmans ?

Claude Guéant, ministre des Cultes, répond à Ouest-France :

G "On va faire en sorte, par exemple, qu'il n'y ait plus de prières dans la rue. C'est l'intérêt de la communauté musulmane d'y mettre un terme. La rue n'est pas un lieu digne pour exprimer sa foi. Et s'il manque des mosquées, on peut, dans l'attente d'une solution pérenne, trouver des solutions provisoires."

Comme solution, on peut déjà exiger des musulmans qu'ils aillent dans les mosquées vides, plutôt que de faire de la provocation dans la rue.

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8 commentaires

  1. la grande mosquée de paris par exemple !!!!
    parait il trop loin des “”quartiers sensibles””
    dans les campagnes un catholique fait souvent 20 km ou plus pour aller à la messe!!!

  2. Le rassemblement du vendredi soir me parait classique, je l’avais constaté (avant la deuxième intifada) à Jérusalem.

  3. Dans ma paroisse ( Dijon Saint Michel) , l’assistance du dimanche est trop importante pour un seul “service” ; d’où 2 messes successives ( 9h30 et 11h00) .
    Je ne peux pas croire que les musulmans n’aient pas eu une idée aussi simple à mettre en oeuvre.

  4. Vous n’avez vraiment “encore” pas compris que l’on pourra leur construire des centaines de mosquées, ils continueront à prier dans la rue, pour nous provoquer, pour nous soumettre ………
    Si le peuple Français ne se défend pas, il faudra vous soumettre ou alors faire votre VALISE …… !!!!!!!!!!

  5. ”Je ne peux pas croire que les musulmans n’aient pas eu une idée aussi simple à mettre en oeuvre.”
    encore faudrait il que leurs buts ne soit de nous ……

  6. Claude Guéant = dhimmi ;
    aux urnes la réponse …

  7. “L’État est neutre et ne subventionne aucun culte. Mais au regard des principes qui nous régissent, certains comportements qui peuvent être jugés provocateurs gênent nos concitoyens.”
    Outre l’occupation illicite des rues (le rythme hebdomadaire est-il compatible avec les demandes d’autorisation préalables imposées pour toute manifestation sur la voie publique), le financement de certaines constructions d’édifices implicitement religieux, les aménagements du droit pour favoriser des cessions de terrains non privés, constituent autant de comportements provocateurs qui gênent.
    Les processions catholiques ne sont pas hebdomadaires sur la même partie de l’espace public.
    Les églises catholiques ont toujours été construites grâce des fonds privés.

  8. Retour chez eux, avec en plus, comme dans Tintin, un grand coup de pied à la façon de Dupont, et ce n’est pas un mirage.

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