Lu dans Minute :
"Ce pourrait être une histoire belge mais ce ne serait pas la plus drôle. Plusieurs médias ont rapporté l’affaire se déroulant à Nivelles, dans le Brabant wallon, et le témoignage d’une quinquagénaire, Liliane. Depuis quelques mois, cette femme rend visite chaque semaine à son fils, incarcéré dans la prison de la commune. Dans les différents articles, celle-ci précise: « Je fais toujours attention à ce que je mets. C’est une prison d’hommes, avec une salle de visite remplie d’hommes. Je ne veux pas attiser les regards. Si j’y vais, je suis en pantalon et sans décolleté ».
Voici dix jours, la canicule sévissant aussi chez nos voisins, la mère de famille a eu l’impudence, et manifestement l’imprudence, de se présenter avec une robe « longue, vraiment très longue », précise-t-elle, « sans décolleté, mais avec des bretelles. Mes épaules étaient donc découvertes ». A l’issue de cette visite, quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’une gardienne lui expliqua qu’elle ne devait plus se présenter ainsi. « Elle s’est justifiée en me disant que d’autres femmes de détenus ne voulaient pas voir une femme aux bras dénudés dans la salle de visite, a fortiori en période de ramadan », raconte Liliane qui poursuit : « La gardienne a ajouté qu’il vaudrait mieux que je le fasse, parce que mon fils pourrait en subir les représailles. »
Face aux demandes d’explication de la femme qui en a pleuré – « Je me sentais violée dans mon intimité, traitée comme une fille de rue » – puis des médias, un porte-parole des établissements pénitentiaires a affirmé qu’il n’y avait aucune mesure particulière liée à la période de ramadan ou aux réclamations de certains détenus. Mais Liliane ne décolère pas : « J’en veux à ceux qui dirigent et qui imposent ce genre de règlement. Je ne comprends qu’on fasse une règle absolue applicable à tout le monde pour ne pas choquer une minorité ». Une minorité, en prison, vous êtes sûre Liliane ?"
Isabelle
Cela ne m’étonne pas. Une personne que je connais est allée en prison l’été dernier pour des histoires de pension alimentaire dans le cadre d’un divorce (véridique). Cette personne a du partager sa cellule avec un salafiste qui l’a menacé de lui casser la figure s’il ne se convertissait pas….
Le Pog
Le “minorités” majoritaires dans certains lieux de notre bonne France, imposent la dhimmitude à tous ceux et celles qui se trouvent dans l’obligation de les fréquenter. Est-il utile de parler de la “complicité” pour le moins passive de nos responsables politique et autres grandes et petites administrations!
Exupéry
Il est de plus en plus évident qu'”amour”, “tolérance” et “paix” sont des concepts qui ont des significations différentes, voire opposées, suivant les “cultures”…
Certains s’imaginent encore que les prisons relèvent de l’autorité d’un “État laïque”… foutaise!
lève-toi
Il n’est pas normal ni moral de mettre en prisons des citoyens Français avec des dingues musulmans, ces derniers seraient mieux dans une centrale dure puis expulsés de France à coups de pompes bien placés.
L’islam est bestial, tout simplement, mettre des nôtres dans ces lieux est un crime contre notre dignité.
Exupéry
@ lève-toi
Effectivement, mettre un français “desouche” dans la même cellule qu’un fanatique “barbu” agressif (désolé pour ce pléonasme), représente une véritable “double peine” ; mais celle-là, personne n’en parle…, surtout pas les “chrétiens progressistes”.
vaucenay
@ lève-toi. Bravo ! Enfin quelqu’un qui parle de c.. à (sévèrement) botter au lieu du “padamalgam”.
D’un côté, on veut traiter tout le monde sur un pied d’égalité, sous prétexte du 2° thème de notre devise nationale, et de l’autre, il faut “respecter” les différences pour le “vivre ensemble”. Tout le monde sait bien que les cultures africaines (au sens large, du nord au sud de ce grand continent) ne se gèrent pas de la même manière que la culture dite “occidentale”, mais nos gouvernants veulent l’ignorer, se laissent berner en connaissance de cause et qui en subit les conséquences ? Les européens “d’EN-BAS”, dont se fiche complètement l’oligarchie dirigeante.