Les deux juges instructeurs du procès des Khmers rouges auraient, selon l'ONG HRW, failli à leur devoir en ne conduisant pas d'enquête "véritable, impartiale et efficace" dans deux dossiers qui font l'objet de fortes pressions politiques. Les observateurs du tribunal parrainé par l'ONU craignent l'abandon des poursuites dans ces affaires, concernant cinq cadres du régime (1975-1979) sous lequel quelque deux millions de personnes sont mortes.
Les juges d'instruction ont refusé les demandes de nouvelles investigations réclamées par le coprocureur international, laissant craindre un classement de l'affaire. Une seule personne a, pour l'instant, été jugée : Kaing Guek Eav, alias Douch, ex-chef de la prison de la capitale, condamné à 30 ans de prison. Il attend un verdict en appel.
Exupéry
La différence de traitement (30 ans après) avec les nazis (60 ans après) est instructive. Les crimes contre l’humanité sont comme les vins, seuls certains se bonifient avec le temps…
chouan 12
ils étaient communistes donc on peut tout leur pardonner!!!
lève-toi
Chouan
Souvenez -vous du sinistre Boudarel, une ordure qui a été protégée, alors qu’il avait fait mourir des soldats Français en Indochine, il est rentré en France sans être inquiété.
Le communisme rend ses adhérents intouchables, l’explication est simple, les monstres fondateurs, sont, ben woui, de la tribu qu’existe pô.