Interrogée sur RMC, Marine Le Pen a dénoncé l’agressions subie par les catholiques qui processionnaient à Nanterre le 8 décembre (44mn20) :
“Cela fait deux fois qu’une procession catholique est attaquée en peu de temps, la 1re fois par les gauchistes, la 2e fois par les islamistes, là ou trouve quand même un point commun”
De même, interrogé sur Europe 1, Jordan Bardella a répondu :
Processions attaquées, églises profanées, prêtres égorgés, marchés de Noël ciblés par des djihadistes : ce que vivent les Chrétiens en France ressemble de plus en plus à ce que subissent les minorités chrétiennes des pays musulmans. pic.twitter.com/CAwuS0HHAQ
— Jordan Bardella (@J_Bardella) December 13, 2021
VIVANT
Quand une procession chrétienne traverse un territoire gouverné par l’islam, ce phénomène violent est ‘normal’. Ce qui est anormal c’est qu’un territoire ne soit plus français. Heureusement nous gardons La nouvelle Calédonie qui n’est pas encore colonisée par les musulmans et trafiquants de haschich marocain.
chrisfree
Ce grave événement marque encore une fois la fallacieuse action des lobbies “antiracisme” (que tout nos gouvernants, DE TOUS LES BORDS, ont grassement subventionnés) qui ont pour seul et unique objectif : l’éradication de la civilisation occidentale.
Garde67
« Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des Cieux est à eux. Heureux êtes-vous si l’on vous insulte, si l’on vous persécute et si l’on dit faussement toute sorte de mal contre vous, à cause de moi. » (Saint Matthieu 5, 10-11).
Les persécuteurs de tout poil sont déjà jugés. Réjouissons-nous de rester fidèles, forts et déterminés à suivre la Vérité qui triomphera à la fin des temps.
Cependant, dans cette bienheureuse attente, il n’est nullement interdit de demander à ceux qui nous frappent pourquoi nous frappent-ils, comme l’a demandé Jésus lors de son procès : « Si j’ai mal parlé, montre ce que j’ai dit de mal ? Mais si j’ai bien parlé, pourquoi me frappes-tu ? » (Saint Jean 18, 23).
Il faut demander au monde ce qui dérange le monde dans l’attitude des chrétiens. En quoi, par exemple, défendre la vérité du mariage qui ne peut exister qu’entre un homme et une femme, en quoi défendre la vie de la conception jusqu’à la mort naturelle pose un problème.
Mais pour affronter le monde il faut avoir la certitude de la foi, la confiance absolue en la Trinité et en la Sainte Vierge.
L’Église sainte qui est en France est-elle pleinement consciente de cette nécessité vitale pour elle-même et pour le monde de la foi en Jésus-Christ ? Des signes par trop évidents montrent un certain état de délabrement, mais contrebalancé par des signes encourageants.
Animé par la vraie foi, nous ne pouvons pas avoir peur de bousculer le monde.
La République n’est rien d’autre qu’une institution humaine qui donc n’est pas en mesure d’imposer, par sa laïcité étriquée, la confiscation de la foi et la privatisation de la religion. Rendre à César ce qui lui appartient, certes, mais rendre aussi et surtout à Dieu ce qui Lui revient.
L’écologie politique désincarnée du réel n’est qu’une idéologie mortifère. N’ayons pas peur là aussi d’être de réel protecteur de la vie de tout homme conçu dans le sein maternel, qui ne l’oublions jamais, en cette période de l’Avent, est celui qui a accueilli l’Enfant Jésus, l’Enfant Dieu. Saint Paul nous le rappelle : “Votre corps est le temple de l’Esprit”. On ne peut se prétendre écologiste si l’on soutient l’avortement, les manipulations génétiques, la PMA pour toutes et la GPA pour tous.
Le féminisme, le racialisme, l’indigénisme et bien d’autres folies ne sont pas autre chose que la prolongation de la lutte des classes marxiste. Usine à fabriquer de toutes pièces des victimes et donc des bourreaux. Mais nous ne manquons pas, nous les catholiques, de ressources et d’expériences pour rappeler que l’homme et la femme sont inséparables, qu’ensemble ils sont image et ressemblance de Dieu et que pour Dieu :”Il n’y a plus ni Juif ni Grec, il n’y a plus ni esclave ni libre, il n’y a plus ni homme ni femme ; car tous vous êtes un en Jésus-Christ”. (Saint Paul aux Galates). On ne trouvera jamais la liberté dans une révolution, car elle est déjà présente en l’homme. La liberté est un don de Dieu.
Le choix politique que nous aurons à faire bientôt ne pourra pas faire l’impasse sur ces questions.
D’ici là courage et détermination face à la haine, aux mensonges et aux calomnies de toute part.