Le procès de Maxime Brunerie, ce "jeune" qui s’est fait remarquer le 14 juillet 2002 en voulant tuer le Président de la République, s’est ouvert hier aux assises de Paris pour se terminer vendredi. Il encourt la perpétuité.
C.D.
Le procès de Maxime Brunerie, ce "jeune" qui s’est fait remarquer le 14 juillet 2002 en voulant tuer le Président de la République, s’est ouvert hier aux assises de Paris pour se terminer vendredi. Il encourt la perpétuité.
C.D.
Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.