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Cathophobie

Profanations antichrétiennes dans une église en Argentine

Lu ici :

"« Hypocrites : ni Dieu, ni maître » et « La seule église qui brille, c'est celle qui brûle ».
Ces inscriptions à connotation anarchiste ont été tracées à la peinture
blanche dans la nuit du 24 au 25 septembre sur le sol de l'église Saint
Ignace de Loyola, le plus ancien lieu de culte de la capitale
argentine
, dont le pape François a été l'archevêque de 1998 à 2013. Les
vandales ont également uriné sur l'autel principal et tenté de mettre le
feu à un deuxième ainsi qu'à la chaise de l'église depuis laquelle le
prêtre donne la messe
. Le journal argentin Clarin a d'abord émis
l'hypothèse qu'il s'agissait d'un groupe radical nommé La Revancha, qui a
aussitôt démenti son implication. Le sacristain a accusé des élèves du
Colegio Nacional Buenos Aires, un lycée d'élite de la ville, d'être
responsables des faits, étant donné qu'un tunnel souterrain, construit
au 18e siècle, relie l'établissement à l'église."

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3 commentaires

  1. Quelle élite se donne l’Argentine!
    Puisse Dieu avoir pitié du monde entier.

  2. “Ni Dieu, ni maître, surtout ni classe ni dignité, ni savoir-vivre, ni respect d’eux-même et des autres, ils urinent comme des chiens…Je ne vois pas où est leur courage…petit, tout ça est bien petit…
    “La seule église c’est celle qui brûle..elle brûle dans le cœur de tous les chrétiens , Elle brûle d’un feu qui ne s’éteint pas …et contre lequel des petits voyous ne peuvent rien…
    Puisse leurs âmes brûler au feu de cet Amour qui saisit Paul à Damas…

  3. Rappel d’un fait analogue:
    En Argentine, le soir du dimanche 8/10/2012, la cathédrale de la ville de Posadas fut assaillie par des centaines de militantes “féministes” (réclamant, entre autres, le droit à l’avortement), dont nombre de lesbiennes avec leurs excès habituels…
    Les tags laissés sur la cathédrale, outres le logo anarchiste, indiquaient clairement leurs opinions anticatholiques : “Curés violeurs !”, “La seule église qui illumine est celle qui flambe”, etc.
    La centaine de militants anti-avortement qui, au coude à coude, défendirent passivement et pacifiquement la cathédrale, restèrent stoïques sous les jets de peinture et les crachats au visage…
    Or, à part des hurlements hystériques quel fut le cri de ralliement de ces femmes – qui n’étaient aucunement musulmanes ? Le “you-you” excitateur des lointaines terres d’islam. Ces militantes ennemies du christianisme avaient spontanément trouvé un drapeau sonore conforme à leur animosité.

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