Communiqué de l'Agrif, extraits :
"Depuis sa création, l’AGRIF n’a cessé d’agir pour que soient identifiés, jugés et châtiés tous les profanateurs, quels qu’ils soient et quelles que soient les tombes profanées, juives, musulmanes, chrétiennes ou autres.
Avec opiniâtreté, elle a toujours souhaité une égale diligence du Parquet et des enquêteurs, gendarmes ou policiers. Pour ce qui est de très graves délits, elle a notamment agi en 1996 sur l’affaire de la profanation anti-chrétienne d’un cimetière de Toulon, par des débiles mus par une détestation aux confins du nazisme et du satanisme. […]
L’AGRIF comprend parfaitement l’émotion suscitée par la dévastation de cimetières juifs et d’autant plus lorsqu’elles se produisent en des moments où des juifs sont assassinés par les criminels d’un islamisme assassin d’une monstruosité digne de celle des abominations des totalitarismes nazi et communiste.
Mais elle relève qu’il aura fallu beaucoup attendre pour que les pouvoirs publics s’émeuvent enfin des profanations de tombes chrétiennes et actes de vandalisme contre nos églises. Elle n’accepte pas cette discrimination, elle exprime d’ailleurs à ce sujet sa considération à l’égard de l’avocat Gilles-William Goldnadel, éminente personnalité de la communauté juive, qui n’a jamais cessé de dénoncer cet état de fait, les atteintes diverses à l’identité culturelle chrétienne de la France et le mépris hautain avec lequel sont traités les chrétiens par l’intelligentsia de gauche dominatrice non seulement au gouvernement mais dans la justice, la pseudo-culture et les médias.
L’AGRIF ne cessera pas de poursuivre les injures et les actes anti-chrétiens. Elle constate d'ailleurs que les profanations antichrétiennes comme anti-juives sont perpétrées par les mêmes nihilistes, satanistes et nazis, ou islamo-terroristes. De surcroît, elle dénonce l’apartheid institutionnel de fait dans lequel le néo-totalitarisme entend réduire les chrétiens. "