Le Réseau On Sans Pass, collectif de citoyens engagé pour la défense des libertés publiques créé en septembre 2021 à la suite de l’instauration du pass sanitaire, organise le samedi 19 novembre au Centre Sèvres Paris 6e, une après- midi de conférence-débats de 14h30 à 18h30 pour promouvoir la réintégration de tous les personnels suspendus en raison du refus de la vaccination covid.
Cela fait plus d’un an que les soignants, pompiers, militaires, tous les personnels des hôpitaux et de nombreux étudiants ont été suspendus de leurs fonctions, interdits d’exercer ou de poursuivre leur activité. Cette situation soulève de nombreuses questions à l’heure où les hôpitaux sont en situation de saturation et que le personnel souffre des sous-effectifs. De même, alors que des hectares de forêts brûlaient cet été, le gouvernement a fait appel à des pompiers étrangers non soumis à l’obligation vaccinale.
Le samedi 19 novembre, en présence de professionnels de santé, d’avocats et de parlementaires, nous chercherons à :
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Mettre en lumière la situation des personnels suspendus grâce à des témoignages, dont celui d’Angélique Vidallet de l’association Porteurs d’Espérance, et à la présentation du projet de Jean-Louis Blondeau Les Essentiels
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Montrer l’incohérence médicale de l’administration obligatoire d’un vaccin qui n’empêche ni contamination ni transmission du virus
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Soulever les contradictions juridiques vis-à-vis du droit du travail, lors d’une intervention de Maître Carlo-Alberto Brusa, fondateur de l’association Réaction19
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Dénoncer l’aberration du maintien de cette décision politique en période de manques de personnels hospitaliers et de sapeurs-pompiers et proposer des solutions politiques pour favoriser la réintégration des personnels suspendus, durant une table-ronde réunissant notamment la sénatrice LR Laurence Muller-Bronn et le député Nicolas Dupont-Aignan
Le sénateur et docteur Alain Houpert a été condamné par la chambre disciplinaire de l’ordre des médecins de Bourgogne Franche-Comté à l’interdiction d’exercer la médecine pendant 18 mois, dont 9 avec sursis, pour avoir osé critiquer la dictature « sanitaire ». Il faisait l’objet de quatre plaintes, dont une du Conseil national de l’Ordre des médecins et une de « l’Union française pour une médecine libre » (sic), et devra verser 2.00€ à chaque plaignant.
L’avocat Fabrice Di Vizio a été condamné par le Conseil de l’Ordre des avocats à six mois d’interdiction d’exercer avec sursis. Pour le même motif.