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Culture de mort : Idéologie du genre / Médias : Désinformation

Propagande sur le gender au Journal de France 2

Hier soir, le dossier de France 2 (à 32mn41) était consacré à ces enfants mal dans leur peau et qui veulent changer de sexe. Dès 5 ans pour certains. Et encouragés par leurs parents. Et si l'enfant veut encore changer de sexe, des cliniques proposent des traitements pour retarder la puberté… afin que ces enfants aient le temps de choisir. Et David Pujadas exprime son émotion à la fin du reportage destiné à faire pleurer dans les chaumières.

Mais ce reportage n'est qu'une rumeur.

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31 commentaires

  1. Déjà le premier tour de l élection municipal a été une débâcle pour la gauche , mais lors de l élection européenne la gauche va subir un véritable cataclysme .

  2. supprimons le sexe, supprimons la couleur, la race, supprimons tout : suicide général
    les nihilistes sont de retour

  3. Je suis tombé dessus par hasard hier. Tout bonnement hallucinant. Le délire total.

  4. Une honte sur une chaine publique. Un reportage qui temoigne surtout de la faiblesse des parents. Car des enfants mal dans leur peau ce n’est pas d’aujourd’hui. Mais aujourd’hui ces chers petits , il ne faut pas les traumatiser
    American way of life quand tu nous tiens !!!

  5. “ces enfants mal dans leur peau et qui veulent changer de sexe”
    Et ceux qui veulent devenir lapins? ou épis de maïs? ou fusée?
    Où sont les parents éducateurs?
    Mais oui mon chéri, papa va te donner un yacht et maman va te donner la lune…

  6. Hier,en allant déposer ma fille à l’école (elle est en PS maternelle) j’ai la surprise de lire sur le compte rendu (collé au mur ) que “cette année les fêtes des mères et pères seront regroupées en une fête des parents”. Notre commune ( MERIEL 95630) appliquera les rythmes scolaires l’année prochaine. Or je m’aperçois que le gender rentre en douce…

  7. c’est une honte , un vrai scandale ….je ne me suis pas gênée pour leur écrire !!!

  8. ces gens prennent leur ordres aux “diners du siècle” point barre tirez l échelle
    http://www.dailymotion.com/video/xfg18m_bakchich-diner-du-club-le-siecle_news

  9. Pujadas c’est un de ces ignobles journaleux, à virer à la re volution!

  10. C’est hallucinant mais c’est aussi mensonger. On ne peut pas changer de sexe (il est inscrit dans nos gènes) on ne peut que s’illusionner et illusionner les autres.
    Il vaudrait mieux chercher ce qui ne va pas chez ces enfants : croient-ils (à tort ou à raison) que leurs parents désiraient un enfant de l’autre sexe, ont-ils des goûts qu’ils croient réservés à l’autre sexe ? Il y a des filles qui se croient interdites de jouer aux cow-boys, aux legos et aux petites voitures et des garçons interdits de jouer à la poupée. Des filles pas intéressées à se maquiller ou à faire les magasins. Des garçons qui n’aiment pas jouer au foot. Tout cela est très normal et n’indique pas qu’on n’est pas de son sexe biologique. On est en train de mettre une pagaille pas possible dans l’esprit des gamins. Ma propre mère, à 80 ans passés, dit qu’étant enfant, on aurait pu la persuader assez facilement (les enfants sont influençables) qu’elle n’était pas une fille en raison de ses goûts pour des activités qualifiées de masculines. Heureusement, à l’époque, les théories fumeuses n’avaient pas cours : la différenciation sexuelle décidait si vous étiez fille ou garçon. Elle s’en réjouit pour elle, mais craint pour les jeunes générations.

  11. comme pour l’avortement ou l’euthanasie, on essaye de nous faire tomber dans le pathétique! Mais ce qui a marché pour l’avortement, qui est en marche pour l’euthanasie risque de ne plus fonctionner pour le gender. OUVRONS LES YEUX

  12. Le soi-disant spécialiste a précisé que ce reportage concernait :
    1 ou 2 cas sur 100 000 naissances soit 0.001% des enfants !
    Sur la planète il y a d’autres urgences !

  13. Vu sans le son, j’ai l’impression que ce reportage se passe aux Etats-Unis (clinique de Chicago, etc.)
    Et bientôt près de chez vous ?

  14. J’ajouterai au commentaire pertinent de Barbara le fait que, quoi qu’ils puissent nous raconter sur le sujet, il est impossible que de jeunes enfants puissent vouloir changer de sexe puisqu’ils ne savent même pas ce que c’est que le sexe !
    On est bien là entrain de les encourager dans une voie qu’ils ne sont pas en mesure de comprendre et ce n’est pas en retardant chimiquement, à coup de poisons, leur puberté que l’on va arranger les choses !
    Les enfants vivent facilement dans le rêve c’est le rôle des adultes de les encadrer et non de partir dans leurs délires.

  15. Cela se paiera.
    On ne touche pas impunément à certaines choses.

  16. Pujadas, Pou jadis, Pou aujourd’hui, POU TOUJOURS ???? Que la lumière qui ne s’éteint pas descende dans son âme.

  17. Je ne regarde plus les informations sur les chaines dites publiques, et regarde les autres avec parcimonie….là, je tombe des nues, mais jusqu’où iront ils ? et ce pauvre Pujadas (il devait être pathétique !)

  18. La PUB de qui vous savez ,les parents sont plus a plaindre car leurs responsabilité est grande dans ses cas la,a coi sert d’être parent et ne pas guider ses enfants,le jardinier posent bien des tuteurs pour ses fleurs ALORS.

  19. Un ou deux cas sur 100 000 c ‘est bien évidemment déjà beaucoup. Ces enfants sont à nul doute malheureux et la faute en à personne. On montre des parents ” heureux” . Je n’en suis pa si sûr. Ces cas d’enfants mal dans leur corps, representent des cas douleureux qui devraient rester dans la sphère intime de la famille. C’est curieux qu’on est n’est pas crié haut et fort que ces enfants etaient victimes de la société !!
    Mais peut être que les adeptes du gender ont des solutions pour résoudre ces problèmes d’identité. Si c’était le cas on le saurait depuis longtemps !

  20. Moi, je suis un homme raté :
    J’ai un clone puisque j’ai un frère jumeau , un vrai.
    Petit , je n’aimais pas jouer au foot.ni au rugby . je préférais le volley ball. Des trucs moins violents quoi …
    Je suis entré à l’ESM … commando , parachutiste etc. Puis officier supérieur.
    Je me pose la question maintenant de savoir si finalement je suis quelqu’un de “normal” . En effet je ne Sais plus , avec cette p. de théorie sur le gender où je me situe. ?
    Est ce grave docteur ?

  21. Scandaleux !
    Les faussaires et manipulateurs au service d’une idéologie conçue par des cerveaux malades pour déstructurer les enfants et détruire la société.
    Ce n’est pas un service public mais une officine de détournement de mineurs et de subversion.

  22. Oui, JPO (8:35) c’est hallucinant. Le délire total.
    Délire, c’est à dire perception erronée de la réalité et déni de celle-ci.
    Malheureusement le délire comme la névrose est transmissible et contagieux.
    Thérésa (08:59) fusionner la fête des mères et des pères !! Le totalitarisme étatique n’a plus de limites !. Que chacun fête (s’il le veut) chaque parents selon son sexe.
    733 (09:25) ce n’est pas au diner-du-siècle qu’ils prennent leurs ordres, mais dans les loges pour assurer leur avenir professionnel.
    Chouan 12 (09:53) P. est effectivement une carpette qui me fait vomir.
    Barbara (09:56) Oui, Barbara, c’est hallucinant mais C’EST AUSSI MENSONGER. On ne peut effectivement pas changer de sexe. L’idéologie du genre ne repose sur absolument rien.
    Elle ne vise que à légitimer l’homosexualité qui est un trouble du comportement.
    Les enfants sont effectivement très malléables et les attaquer pour semer la confusion dans leur esprit est la pire des lâchetés.

  23. aure Izars (10:51) Le docteur Jean-Daniel Flaysakier est généraliste épidémiologiste trouvant plus intéressant de travailler comme chroniqueur sanitaire. Soutenu par .. il a été nommé rédacteur à France 2 pour service rendu.
    Le docteur Flaysakier n’est ni pédiatre, ni psychiatre, ni pédopsychiatre, ni sexologue, ni spécialiste du développement, ni psychologue, .. mais bien introduit dans les milieux journalistiques.
    Je conteste catégoriquement son affirmation que ce qu’il a appelé les « dysphories de genre » ne soient pas une pathologie. C’est la position (idéologique) d’une partie du corps médical américain et d’une partie des psychiatres américains. Cette vision (subjective et politique) des choses a été très discutées dans les sociétés psychiatriques américaines, car elle ne fait pas l’unanimité.

  24. DUPORT (11:33) Oui, vous avez raison, « les enfants vivent facilement dans le rêve ; c’est le rôle des adultes de les encadrer et NON DE PARTIR DANS LEURS DÉLIRES. »
    Les enfants sont évidemment influençables. Nous passons tous par une période de recherche de notre identité et de notre sexualité. Il est criminel, quand un enfant ou un adolescent cherche sa voie de l’égarer dans la confusion. Même et surtout pour justifier notre propre confusion.

  25. roy (12:25) POU RRITURE
    labarre (12:53) pauvre, pauvre, devoir se prostituer de la sorte.
    Amiral (12:59) le jardinier pose bien des tuteurs, mais depuis mai 68 il est interdit d’interdire.

  26. Revenons aux fondamentaux.
    La théorie du genre qui affirme que l’essentiel de notre personnalité repose sur l’histoire de l’individu est FAUSSE.
    La personnalité est fonction de notre hérédité et de notre histoire personnelle et d’abord sur les relations parents-enfant et les relations familiales (fratrie, oncles, …). Il est vain, faux et dangereux de nier l’une ou l’autre.
    Le génome conditionne le physique et l’hormonologie, qui ensemble modulent la perception du vécu.
    Le développement harmonieux est celui qui fait coïncider le psychique et physiologique.
    Toute discrépance entraîne une souffrance qui n’est pas soulagée en profondeur par un comportement incohérent. Le non soulagement est montré clairement par les aller et retour d’un sexe affiché à l’autre, par les dépressions et les suicides.
    Quels que soient les difficultés très réelles à accompagner quelqu’un qui doute dans la recherche de son identité, je considère comme criminel de l’engager dans une voie sans issue dont chacun sait, à commencer par le médecin, qu’elle ne sera pas satisfaisante.

  27. Pendant ce reportage allucinant ,une hypothèse a été émise selon laquelle les hormones chargées d’ “imbiber”le fétus a un moment bien particulier,n’auraient pas fait leur travail,ou que les perturbateurs endocriniens partout présents dans notre environnement seraient responsables…IL S’AGIT DONC D’ANOMALIES qu’il convient de rectifier et absolument pas d’un motif pour nier l’existence des sexes et déconstruire l’identité de tous les enfants .Il souffle un vent de démence auquel nous avons le devoir de nous opposer!!

  28. Il y a, comme par hasard, plus de garçons que de filles concernés.
    Regardons de plus près. La société américaine exige de ses mâles un comportement résolument viril: on ne pleure pas, on joue à des jeux bourrés de testostérone et on ne fait pas sa chochotte: le parfait macho man caricaturé par les Village People.
    Dans cet environnement, il peut être souhaitable pour un jeune enfant un peu sensible, poète, fragile &c. de vouloir jouer un autre rôle que celui qui lui est assigné. Il pourra préférer jouer à la fille sympa s’il ne peut assumer le costume de mec cool.
    Dans les cas qui nous ont été complaisamment présentés, il n’y a pas de demande de réalignement d’un sexe physique mais simplement la demande d’une carapace d’un (non?) sexe social. Le retard médicalisé de la puberté leur offre sans doute la sécurité d’une enfance un peu magique prolongée et nécessaire à leur construction affective et humaine.
    Cela est évoqué dans le reportage comme quoi rien n’est vraiment fixé à cet âge encore tendre.

  29. Bête et Immonde ! Et ça ne repose sur aucune base scientifique : http://www.youtube.com/watch?v=jzrVv1qNipA

  30. Pourquoi tant de critiques? C’est un nouveau business qui rapporte!
    PS: je n’ecoute QUE radio Notre-Dame, ne lis que les Salon Beige et Valeurs Actuelles, et ne regarde que TV Libertés.

  31. J’ajouterai au commentaire de Maria que le pseudo spécialiste dit une énormité: avant 3 mois on est tous bisexués et c’est l’imprégnation des hormones bla-bla-bla… SAUF que le sexe est déterminé génétiquement par les chromosomes XX pour les filles et XY pour les garçons.
    La mère transmet forcément un X et le père un X ou un Y. La détermination du sexe est donc faite dès la fécondation. Les hormones mâles ou femelles pendant la grossesse sont produite en fonction du sexe de l’enfant et pas l’inverse.
    Un médecin? Tu parles, c’est du niveau classe de 3ème!

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