Communiqué de Chrétienté-Solidarité
« Seigneur, endormez-moi dans votre paix certaine
Entre les bras de l’Espérance et de l’Amour.
Ce vieux coeur de soldat n’a point connu la haine
Et pour vos seuls vrais biens a battu sans retour.Le combat qu’il soutint fut pour une Patrie,
Pour un Roi, les plus beaux qu’on ait vus sous le ciel,
La France des Bourbons, de Mesdames Marie,
Jeanne d’Arc et Thérèse et Monsieur Saint Michel. »
Charles Maurras, Prière de la Fin.
Prophète rejeté en son pays, Jean-Marie Le Pen a élevé une génération de militants, en leur apprenant l’histoire de France, leur disant ce que doivent être des hommes fiers et libres, leur parlant souvent de la foi mieux que les évêques.
Nous lui en sommes à jamais reconnaissants.
Qu’il repose dans la Paix qui ne finit pas.
Yann BALY
Meltoisan
Je n’ai pas toujours apprécié le personnage, en particulier pour son “durafour …” et autres mauvais mots du même acabit. Cependant, je suis sûr que l’homme était nécessaire et utile à la France, ne serait-ce que pour la protéger contre elle-même à certaines périodes. Heureusement, Marine et Marion défendront chacune de leur côté le message qui subsiste : Pour que la France reste la France !
F. JACQUEL
@meltoisanEn Algérie, le 1er REP a été commandé de 1959 à 1960 par le Colonel Henri Dufour. Et quand un journal de gauche parla du Colonel Dufour…
…crématoire, cela ne déchaîna aucune tempête.
Meltoisan
Connaissez-vous la différence entre JMLP et Mélenchon ? Il n’y en a pas : Ils auront tous deux détesté les juifs et Israël !
Collapsus
C’est bien mal connaître Jean Marie Le Pen que de dire qu’il détestait Israël.
F. JACQUEL
@meltoisan
En Algérie, le 1er REP a été commandé de 1959 à 1960 par le Colonel Henri Dufour. Et quand un journal de gauche parla du Colonel Dufour…
…crématoire, cela ne déchaîna aucune tempête.
France Fougère
Il aurait dû éviter ces mots si blessants, choquants, tout de même.
Mais à propos de la candidate socialiste qui se protégeait de sa colère, les cameras étaient présentes si bien que les images ont été diffusées et rediffusées. Pas de coup, seulement une attitude certes menaçante. Il n’y avait pas de caméra sur un trottoir en plein Paris, quand un socialiste sectaire a soudainement foncé sur moi, qui me rendait à mon travail, me frappant si violemment au visage que mes lunettes ont été cassées et sont tombées. J’ai dû recevoir un traitement par laser pour contrer un début de déchirement de la rétine. On a fait pression pour que je retire ma déclaration. Je n’étais pas socialiste et je restais à mon poste au temps de Mitterrand. Les pressions, j’avais l’habitude, y compris pour exiger la délation. Je ne cédais pas, avec. l ‘appui d’un autre chouan, d’où cette pulsion de violence absurde. Le temps passe… j’ai oublié peut-être par mépris le nom de l’agresseur, mais les écrits restent.
Celle qui en a le plus souffert, ce fut ma mère luttant stoiquement en Bretagne contre la maladie qui l’emporta quelques mois plus tard. On le savait.