L'hebdomadaire est d'accord avec la proposition de Jean-François Copé, concernant la presse subventionnée :
"[…] Jean-François Copé veut que « les principaux dirigeants et salariés de ces groupes qui utilisent des fonds publics soient désormais soumis aux mêmes règles et obligations de déclarations d’intérêts et de patrimoine que celles des parlementaires ». Le texte s’appliquerait à tout média percevant des subventions, de la publicité étatique ou de collectivités, etc. Bref, à tout le monde ou presque.
A « Minute », notre position est claire et se résume en un mot: banco ! A l’appel de Copé – « J’appelle toutes celles et tous ceux qui sont, comme moi, attachés à une véritable transparence et à une véritable démocratie à soutenir dès aujourd’hui ma proposition et à faire entendre leur voix » –, nous répondons présent. Et nous appelons tous nos confrères à faire de même. En se mettant quelques instants dans la peau des politiques, quels qu’ils soient. Suivant la voie ouverte, dans les années 1960, par « Le Canard enchaîné », « Minute » et « L’Express », tous les médias se sont peu à peu engouffrés dans l’investigation – ou, pour certains, dans la publication de dossiers pré-fournis mais c’est une autre histoire. La quasi-totalité des médias est maintenant en quête de « révélations » et exige – c’est le terme – des hommes politiques une totale transparence. Les seuls qui ne soient pas sommés de s’expliquer sur leurs liens avec tel groupe de pression, leurs collusions avec telle entreprise ou tel parti politique, leur train de vie: les médias et leurs principaux collaborateurs – leurs dirigeants. La presse n’enquête pas sur la presse. Ou alors à la marge, par « nécessité » économique ou dans un but politique. L’argent coule-t-il moins à flots dans les rédactions, télévisées par exemple, que dans les partis politiques ? Les journalistes en vue, qui n’ont de comptes à rendre à personne, sont-ils moins influencés dans leurs prises de position que les hommes politiques qui, eux, ont au moins à rendre compte à leurs électeurs ? De récentes études d’opinion indiquent que, pour les Français, les journalistes ne sont plus crédibles. Voilà une occasion de regagner un peu du discrédit qui les frappe… à moins, évidemment, que ce soit plutôt l’occasion, pour une partie d’entre eux, de perdre définitivement tout crédit…"
Daniel
Puisque la presse française ne vit que sous perfusion d’argent public (= nos impôts) il serait très républicain d’avoir quelques données sur les actionnaires majoritaires (pas seulement des noms) sur le directeur et sur le directeur de la rédaction (celui qui censure ou oblige selon la ligne rédactionnelle).
Mais je pense que rien n’ira jusqu’à une loi… c’est seulement un épouvantail que Copé agite pour qu’on lui fiche la paix.
Magikbus
Pour se faire cirer les pompes au quotidien malgré sa haine anti-francais de souche , le PS a accordé 30% de réductions d’impots supplémentaires aux nababs de télé-merdias vous ment ,en plus des subventionspour des milliards d’euros , et presse taxée au taux ridicule de 2% ,sans compter les pharaoniques salaires pour journalistes propagandistes à pensée unique grace à nos redevance télé obligatoires .
La presse déteste la France et les francais de souche mais se gave sans vergogne sur votre argent pour vous faire en plus de la morale à 2 balles ajoutée à son répertoire de haine anti-fn ,anti-blancs, anti-chrétiens à longueur d’années depuis des décennies .
DUPORT
Une proposition tirée du chapeau au moment ou Monsieur Copé se plaint d’être victime d’une chasse à l’homme !
Si on en arrive à faire ce genre de proposition c’est parce que depuis des décennies Monsieur Copé et ses amis ont permis que la presse se développe dans l’opacité des comptes.
Monsieur Copé dénonce une situation anormale qu’il a contribué à créer !
Il y a bien longtemps que l’on sait que toute cette presse et ses journaleux portent la marque du collier !