Lu ici :
"Parce que la pratique est interdite au Royaume-Uni, les couples anglais sont de plus en plus nombreux à se rendre aux États-Unis pour choisir le sexe de leur enfant [ndlt : en recourant à une fécondation in vitro]. Selon le Dr Daniel Potter, à la tête d’une clinique de fertilité en Californie, leur nombre aurait augmenté de 20 % en un an. (…) Surprise : au sein de sa clinique, ce sont les filles qui sont majoritairement demandées par les couples britanniques. Près de 80% d’entre eux choisissent en effet de ne pas avoir de garçon. Un chiffre qui pourrait étonner au vu des arguments des détracteurs qui craignaient un choix massif de descendance mâle, notamment pour des patients originaires de certaines parties du monde où la naissance d’un garçon est synonyme de prospérité et de chance."