Emmanuel Macron se rend en Algérie, demain 6 décembre.
Voici le texte d'un appel de son prédécesseur, le président de la république René Coty, à la suite du massacre, perpétré le 28 mai 1957 par l'ALN (bras armé du FLN), de plusieurs centaines d'habitants de Melouza, au sud de la Kabylie.
Ce texte appelle deux commentaires :
- en 1957, le président Bouteflika, que va rencontrer Emmanuel Macron, était déjà membre de l'ALN qui a perpétré ce massacre et essayé de le faire endosser par l'armée française. Il n'y a pas eu de repentance, côté FLN, de ce crime de guerre comparable à celui d'Oradour sur Glane.
- le président Coty était de bonne foi lorsqu'il écrivait : "Je donne l'assurance solennelle que la France, qui veut leur garantir la sécurité et la justice, ne les abandonnera jamais". C'est un autre président de la république, Charles de Gaulle, successeur de René Coty, qui, cinq années plus tard, abandonnera aux couteaux du FLN des dizaines de milliers de musulmans et d'européens d'Algérie.
Le Forez
De belles paroles du président Coty , franc-maçon donc on peut imaginer la valeur de ses dires et de Gaulle , ami des communistes , qui s est enfui de France au moment oû il aurait dû se battre sur notre terre , est un traitre à son pays . Allez , son seul fait d armes est d avoir féderer les Français contre l envahisseur allemand , c est à peu prés tout . Ce traitre a même laisser le droit aux fm de nuire alors que le Maréchal Pétain avait interdit cette secte .
a.picadestats
Dès qu’il sort on tend le dos!!!
toto
11 à 12 dizaines de milliers cela fait plus d’une centaine de milliers. Les chiffres officiels vont de 80 000 à 130 000 Harkis liquidés et ils sont minimisés. Qu’a fait le gouvernement de Gaulle pour faire libérer les européens séquestrés et internés par le FLN en 1962? RIEN! Ou plutôt si, nier leur existence.
clemsius
De Gaulle pour jouir de la France devait faire des concessions certes aux communistes mais aussi et surtout aux trois points qui ne voulaient plus de colonies pour libérer les pays en voie de développement de la culture trop chrétienne des pays européens. Pour être à la tête du pays il était prêt à tout et il l’a fait. Vendre la France qui l’avait fait aller là où il était en usant de tromperies.
marino
France – Algérie : La réconciliation des mémoires aura-t-elle lieu ?
Il n’y a rien de moins sûr…
Ce 6 décembre prochain, le président Macron se rendra en Algérie. Et les Algériens, encouragés par les propos du candidat Macron, en février 2017, selon lesquels « la colonisation [était] un crime contre l’humanité », sont plus intéressés par ce qu’il dira ou fera que par les dernières élections algériennes pour lesquelles la grande majorité du peuple s’est abstenue et desquelles tous les quotidiens du pays dénoncent qu’elles ont été truquées en faveur du parti FLN.
Mais, le FLN, parti du président algérien, qui « remporte » depuis 55 ans (de la même manière ?), toutes les élections en Algérie, entend bien obtenir repentance de la France, comme le précisait dans son récent message du 5 juillet dernier, Bout’flika :
« Le peuple [algérien] exige toujours une reconnaissance de ses souffrances de la part du colonisateur d’hier» et que la France reconnaisse officiellement ses «crimes» et s’en excuse […] (El Watan du 1er décembre 2017).
Réconciliation des mémoires, disent-ils ? C’est, en tous cas, ce que prône Benjamin Stora, historien spécialiste – pro algérien – du Maghreb, dans son interview sur i24news.tv, de cette semaine.
Mais comment opérer cette réconciliation que le FLN algérien réclame depuis plus de 55 ans, maintenant, quand la reconnaissance des crimes se fait toujours à sens unique ?
Comment, en effet, réconcilier « nos mémoires » quand l’historien Stora déclarait, en septembre dernier, à Oran : «(…) l’apaisement des relations Algéro-Françaises «implique un travail de deuil que doit faire la France en acceptant sa défaite » et d’accuser ce qu’il appelle les « groupes mémoriaux » c’est-à-dire les pieds-noirs, harkis et nostalgiques de l’OAS, de raviver les tensions (…) » (El Watan)
Nous ne ravivons aucune tension. C’est que, tout simplement, notre mémoire ne nous fait aucun défaut. Nostalgiques ? Non, il n’y a plus aucun pied-noir nostalgique de l’Algérie. Surtout dans l’état actuel de délabrement où se trouve ce pays que nous avions bâti et embelli tout au long de ces 130 années de labeur.
[…]
NON. Non, nous ne pourrons jamais oublier parce que cette « guerre », ce sont eux, les terroristes musulmans algériens qui nous l’ont déclarée. Et que, aujourd’hui et toujours, les Algériens mentent lorsqu’ils disent que c’était une guerre de « libération » nationale.
Cette guerre, qui n’a même pas été voulue ni initiée de leur propre chef par des Algériens, n’était ni plus ni moins que le djihad des islamistes qui sévit aujourd’hui dans le monde occidental.
Aiguillonnés par Nasser et son rêve panislamique, il fallait que ne subsiste, en Afrique, aucune présence non-musulmane. Et l’Algérie était la seule contrée africaine dirigée par un pays européen, chrétien, dont les adeptes du coran ne voulaient pas, ne voulaient plus.
La guerre d’Algérie s’est faite au nom du djihad. Avec la même barbarie et la même haine qu’il véhicule, aujourd’hui.
Et pour cette raison, nous disons, non. Non, la France n’a pas le droit de reconnaître comme un crime ce qui n’a été que de la légitime défense pendant la guerre d’Algérie.
Quant à la colonisation qui a tant apporté dans ce pays, nous ne reviendrons pas sur le fait qu’à cette époque, ce pays n’existait pas en tant que tel et que cette contrée était, depuis 500 ans, sous le joug des ottomans.
Nous verrons bien ce que ce chefaillon français qui nous sert de président fera après-demain à Alger.
Mais nous lui saurions gré de se souvenir qu’ici, en France, à l’heure où nous écrivons ces lignes, des « agents algériens » comme les Bouteldja, Marwan Mouhamad et tant d’autres, ils sont légion, adeptes de l’islamisation de notre pays et soutenus par des partis politiques comme celui de Mélenchon, entre autres, mettent en danger l’intégrité de la France.
S’il ne veut pas que la France soit le remake de l’Algérie ex-française, il serait bien inspiré de mesurer ses paroles, ses actes et ses promesses.
https://www.dreuz.info/2017/12/04/france-algerie-la-reconciliation-des-memoires-aura-t-elle-lieu/
Tite
6 décembre, fête de Saint Nicolas.
Je suis sûre que le petit père Macron aura sa hotte remplie de bonbons et de cadeaux pour l’Algérie “martyre” des méchants colonisateurs. Le père Fouettard n’a qu’à bien se tenir et à la boucler.
Semper Fidelis
Ce ne sont pas le fond des critiques contre le Général de Gaulle qui me dérange, au contraire je les accepte et même je les comprends jusqu’à un certain point…
Ce que je trouve profondément choquant, c’est la forme : de basses insultes qui ne sont que le reflet des pires invectives du gouvernement vichyste, qui de juillet 40 à juillet 44, n’a cessé de vouloir plaire et satisfaire les exigences de l’ennemi nazi !
Oh, je sais messieurs… Bien des hommes de Vichy (à Vichy ou ailleurs) ont servi de bonne foi le maréchal, pensant là servir la France… De Gaulle lui-même accordait à beaucoup d’entre eux le fait qu’ils “étaient animés de hauts sentiments” envers la France…
Mais on ne peut pas, on ne peut jamais, m’entendez-vous ? on ne peut jamais servir son pays lorsqu’il est envahi, avec à sa tête un ancien soldat qui, tout glorieux qu’il soit, a dit qu’il fallait cesser les combat !
Ce sont des propos indignes d’un maréchal de France ! Et dire qu’on a fusillé des chefs comme Ney ou Murat (en 1815)…
Pour revenir à l’Algérie, je comprends très bien la rancune des Pieds noirs et leurs familles, mais en 1962, la réalité des faits était là :
-la métropole se fichait complètement de l’Algérie,
-l’Algérie, largement pétainiste en 1942-43, s’était laissé dicter sa conduite par les américains, et cela De Gaulle et toute la France Libre ne pouvait l’oublier…
-l’ère des colonies était terminée ! les musulmans ne nous ont jamais accepté (et c’est toujours la cas, mais aujourd’hui, ce sont eux les envahisseurs…)
Et pour clore la chapitre de 1940, à cette époque, seule la Grande-Bretagne continuait à se battre contre l’Allemagne nazie, c’était donc à eux qu’il fallait s’allier ! Si à l’époque c’étaient les esquimaux ou les patagons qui se battaient encore, eh bien la France Libre et Combattante aurait été à Thulé ou dans la cordillère des Andes !
Florilège
à Semper Fidelis : Vous êtes un peu à côté de la plaque quant à votre opinion sur le Maréchal Pétain. Peut-on vous rappeler qu’il avait le couteau nazi sous la gorge et que son but était d’épargner le plus de vies possibles (trop long à détailler ici). Je préfère de loin un homme qui avait un grand sens du sacrifice (déclarant “je fais le don de ma vie à la France”) qu’à un autre, poltron, qui a été le roi de la couardise (rappelons-nous ses fuites devant l’ennemi à Londres ou à Baden-Baden), et qui, de plus, a été un grand diviseur parmi les patriotes pour servir sa propre gloire.