Partager cet article

Homosexualité : revendication du lobby gay

Quand les LGBT comprennent que leurs comportements contre-nature n’est pas simple en fin de vie

Quand les LGBT comprennent que leurs comportements contre-nature n’est pas simple en fin de vie

En lisant attentivement l’article décrivant l’ouverture prochaine d’une maison de retraite réservée aux LGBT à Londres, on se rend compte que les LGBT découvrent par eux-mêmes que leur choix de vie est contre-nature :

C’est une première au Royaume-Uni. Le maire Sadiq Khan a confirmé l’obtention d’un prêt immobilier de 5,7 millions de livres sterling du fonds de logements social (Community Housing Funds), en vue de l’ouverture d’une maison de retraite unique en son genre. Situés dans le quartier de Vauxhall au sud de la Tamise, ces logements accueilleront des retraités de la communauté LGBT (…) Les 19 logements, situés dans un immeuble imaginé par l’architecte britannique Norman Foster, seront composés d’une ou deux chambres. La résidence proposera des services haut de gamme avec un espace restaurant-bar, un rooftop et un jardin suspendu, ainsi que l’accès à des soins sur place 24H/24 et 7J/7. Les premiers arrivants devraient emménager au milieu de l’été 2021 (…)

La minorité LGBT présente des problèmes de santé à la fois similaires, mais aussi différents du reste du public de maison de retraite. “On le sait grâce aux études américaines. C’est un public avec des comorbidités supérieures, plus de diabète, plus de mécanismes d’addiction, d’anxiété et de dépression. Sans compter sur la partie de cette population atteinte de VIH et les traitements aux hormones chez les trans. On ne sait pas comment ça va vieillir.”

J’ai 49 ans, je suis gay, je n’ai pas d’enfants. Je me pose comme tout le monde la question de l’accompagnement“, ajoute Stéphane Sauvé. La grande majorité de la communauté LGBT n’a pas d’enfant, et donc d’aidants pour la fin de vie. C’est un public plus isolé.” (…)

Ce n’est pas la première fois qu’un pays accueille ce type de maison de retraite. Des initiatives similaires existent au Canada, en Espagne, aux États-Unis et en Australie. En France, Nice, Lyon, Montreuil, Romainville et Paris ont également manifesté leur intérêt.

 

Partager cet article

14 commentaires

  1. Les fabricants d’anus artificiels se frottent les mains, si j’ose dire.

  2. Tout célibataire est un “public plus isolé”, et une grande majorité n’est pas LGBT pour autant.

  3. Donc selon vous, les personnes LGBT ne sont pas dotées de la liberté ? Intéressant…

  4. Sadiq Khan, maire de Londres, porte un bien joli nom.

    Pourquoi ne quitte-il pas Londres pour retrouver ses racines au Pakistan ? Là-bas, on a vraiment besoin de lui et de ses talents. Il y serait chaleureusement accueilli.

    Sur le trajet, il pourrait même s’arrêter à Paris pour faire une bise à notre espagnole Hidalgo et à son prédécesseur Delanoë qui en seraient ravis.

    Bon, je m’arrête là car on me dit que je suis taquin…

  5. Oui, effectivement, pour la vie, c’est pas un choix. C’est vous qui le dites.

  6. “La grande majorité de la communauté LGBT n’a pas d’enfant, et donc d’aidants pour la fin de vie.” N’est-ce pas quelque peu égoïste de penser les enfants comme des “aidants pour la fin de vie”? Les futurs pensionnaires de cette résidence auront (peut-être?) au moins assumé financièrement leur choix de vie.

    • Et aller s’enfermer avec d’autres LGBT pour exclure les autres c’est mieux ?
      Ils vivent dans l’égoïsme permanent et l’entre soi qui leur permet de mieux se mépriser mutuellement…

    • En fait, c’est juste la nature des choses, que les enfants, après avoir tout dû à leurs parents pendant au moins les vingt premières années de leur vie, sentent le devoir de rendre un peu de cet amour inconditionnel et désintéressé, par le soin à leurs parents vieillissants. Alors évidemment, quand on a fait sciemment le choix du refus de la vie par les relations contre-nature, on n’a pas cette aide affectueuse. On ne peut pas tout avoir…

  7. Si ce n’est pas, selon vous, un “choix de vie”, c’est quoi? Un handicap?

  8. Il faut au moins DEUX maisons de retraite, une pour les lesbiennes, une autre pour les homosexuels hommes, parce qu’ils ne pourront jamais cohabiter dans le même immeuble. Et même une troisième pour les transsexuels..

Publier une réponse

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services