Libération se désole que la parité puisse faire fuir les hommes…
Une récente étude de l’université de Zurich, publiée dans la revue spécialisée Social Networks, le confirme. A partir de données britanniques, le professeur en sociologie Per Block démontre que la ségrégation genrée du marché du travail ne s’explique pas seulement par des intérêts individuels prétendument différenciés entre homme et femmes, c’est-à-dire un attrait plus fort des femmes pour les métiers du care ou encore une affinité des hommes pour les professions techniques. «Les résultats montrent une tendance substantielle et claire des hommes à quitter leur emploi lorsque davantage de femmes y entrent», confirme l’étude, sans que cela puisse être imputé à d’autres caractéristiques professionnelles, à des changements de profils de compétences ou de conditions d’entrée. Ainsi, lorsque la proportion de femmes dans un emploi augmente de 10 %, la probabilité des hommes d’y rester chute d’environ 12 %. Les hommes ont deux fois moins de chance de rester dans une profession où l’afflux de femmes s’élève à 75 %.
zongadar
C’est comme pour le service de l’autel (ce qui est une cause de la baisse des vocations)
Hubert
Pourquoi veulent-ils la parité puisque selon leurs critères hommes et femmes sont identiques ?
Biem
Comme disait ma grand’mère, “pourquoi voudrions-nous l’égalité alors que nous sommes tellement supérieures aux hommes?”
Comme le disait déjà Lao Tse : 上善若水 : 水善利萬物, 而不爭處. 眾人之所惡, 故幾於道. « La vertu supérieure se conforme à l’eau : la vertu de l’eau nourrit dix mille choses, mais sans chercher le repos. Les aspirations de la plupart des hommes sont mauvaises, c’est pourquoi la Voie leur est imperceptible » (Tao Te King, 8).
Les hommes sont attirés par des professions et postes de prestiges, pour briller, les femmes par des professions et postes de service, pour être utile. Quand une profession se féminise, elle perd en prestige aux yeux des hommes.