Témoignage d'un policier dans Le Figaro :
"Dans certains quartiers, le moindre contrôle d'identité peut partir en vrille. Si nous ne sommes pas un minimum d'effectif, on ne contrôle personne. Quand on a une fiche de recherche sur un individu et qu'on le croise par hasard sur la dalle de la cité avec ses potes, s'il n'y pas 2 ou 3 équipages avec nous on ne l'interpelle pas, on le laisse filer. C'est comme ça. Sinon, on risque de ne pas ressortir du quartier".
PK
On se demande à quoi peut bien servir l’instrument qui pendouille accrocher à leurs pantalons ?
m
Par contre pour mettre des pv les jours de marché pour des malheureuses voitures mal garées faute de place sur le “parking” dans une petite ville de province, là y a pas de problème, et sans parler des dépassements de vitesses, des radars partout.
Le “racket” légal des honnêtes gens.
SD-Vintage
méthode Sarkozy de tolérance zéro