Que penser des propos du pape François en Hongrie concernant l’immigration ? Quel est le devoir des catholiques dans l’accueil des migrants ? Les réponses du Club des Hommes en noir avec cette semaine autour de Philippe Maxence les abbés Guelfucci et Célier, le père Thomas et Guillaume de Thieulloy.
Quel accueil des migrants pour un catholique ?

Articles liés
4 commentaires
Publier une réponse Annuler votre réponse
Vous devez avoir un compte pour publier un commentaire
christianlair
Les ” migrants ” en question arrivent avec des portables à plusieurs centaines d’euros pièce !….. Ce pseudo-pape ferait bien de s’occuper à ramener la concorde dans son église , concorde qu’il s’est bien employé à dépecer depuis qu’il a pris la place du Pape Benoît XVI … Et , comme le dit très bien le prêtre dans cet interview , qu’il prenne donc des migrants au Vatican et dans ses vastes appartements , il pourra constater l’état d’esprit qui règne chez ces gens-là !….. Le vieil adage : ” Faites ce que je dis , mais pas ce que je fais ” est pour lui d’actualité ! ! ! !
Meltoisan
Citation : « Migrant » n’est que de la novlangue pour désigner pudiquement un « colonisateur ».
Ce n’est pas la bonne formule. La France a en effet été colonisatrice en l’Algérie ! Come les phéniciens, les grecs, les romains puis les arabes auparavant … laissant le peuple algérien authentique (berbères) livrés à eux-mêmes.
Il faut aujourd’hui lutter effectivement contre toutes les migrations, qu’elles soient à visées colonisatrices ou prétendument immigrationnistes : Le monde a changé!
Les pays qui ont des populations variées sur un petit territoire connaissent tous la guerre. Liban, Arménie, Kosovo, … D’où la nécessité et l’urgence de stopper l’immigration non choisie si on eut éviter ces catastrophes.
C.B.
N’est-ce pas “François” qui, il n’y a pas si longtemps, reprochait aux catholiques de trop procréer, comme des lapins?
Magistro78
Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean, chapitre 10, versets 1 à 21
Le voleur ne vient que pour voler, égorger, faire périr. Moi, je suis venu pour que les brebis aient la vie, la vie en abondance. Moi, je suis le bon pasteur, le vrai berger, qui donne sa vie pour ses brebis. Le berger mercenaire n’est pas le pasteur, les brebis ne sont pas à lui : s’il voit venir le loup, il abandonne les brebis et s’enfuit ; le loup s’en empare et les disperse. Ce berger n’est qu’un mercenaire, et les brebis ne comptent pas vraiment pour lui. Moi, je suis le bon pasteur ; je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent, comme le Père me connaît, et que je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis