Le 19 janvier, Marie-Laure Denis a été choisie par Emmanuel Macron pour prendre la tête de la CNIL, la Commission nationale de l’informatique et des libertés. Elle va remplacer Isabelle Falque-Pierrotin, qui a été désignée jeudi par le Premier ministre pour être l’une des cinq garantes du «grand débat national». Elle dirigeait la Cnil depuis 2011. La nomination de Marie-Laure Denis doit encore être validée par l’Assemblée nationale et le Sénat.
Diplomée de SciencesPo et de l’ENA, elle a été auditrice au Conseil d’État puis membre de plusieurs cabinets ministériels, au début des années 2000. Elle faisait également partie du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) et de l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep).
La Cnil est une autorité administrative, chargée de protéger les données personnelles et les libertés des citoyens français. Elle est par exemple celle qui veille à la bonne application du RGPD, le règlement européen de protection des données, en vigueur depuis mai 2018, et qui contrôle la manière dont les entreprises peuvent traiter les informations des internautes européens. Elle a également le pouvoir de surveiller et de sanctionner les organismes qui ne respectent pas les règles français en termes de vie privée. En 2018, la Cnil a prononcé 14 sanctions, dont neuf financières, et 79 mises en demeure.
DUPORT
Au milieu de toutes les compromissions et des conflits d’intérêts il faut croire que certains passent inaperçus ou bien peut être que nous finissons pas nous habituer…
De toute façon la CNIL ne sert à rien, elle n’a jamais servit à rien.
On chercherait en vain une liberté qu’elle aurait défendue au milieu de toutes celle que nous avons perdues.
sivolc
J’approuve. D’ailleurs je remarque que la CNIL ne sert qu’à administrer des punitions, c’est une punisserie en quelque sorte. Cette dame a l’air très satisfaite sur la photo, avec son mari “le soir à la chandelle” ils doivent bien se marrer en évoquant le tableau des sanctions de la journée et qui ne touchent que ceux qui les paient grassement, ceux qui ne servent à rien, qui fument des clopes et sentent le gasoil. Car nous on en est ….de l’ENA, on ne risque rien….
MARIE
Bien sûr c’est à la femme de renoncer à son job, et, pourquoi pas son mari qui renonce, et, elle a les qualités pour ce job mais pour certains la femme est toujours à la maison