De Vivien Hoch :
"La question n’est pas : Faut-il abolir le « mariage pour tous », mais bien : qui mettra à terme à la décadence complète, morale et financière, de ce pays ? Seulement quelques homosexuels militants ont fait acte de présence à la mairie, devant la « Marianne femenisée » de la République. Ce que l’on demande, et même exige, d’un candidat de droite, c’est qu’il se prononce sur les thématiques les plus urgentes aujourd’hui : mettre un terme au collectivisme général de la société, au règne des syndicats, des loges, des « avantages sociaux » réservés à certaines classes de fonctionnaires, au financement public massif des officines idéologiques (LGBTQ, faux anti-racistes, médias d’ultra-gauche, artistes décadents, etc.) mais aussi permettre enfin aux entreprises de se construire sans être suffoquées d’impôts et de taxes en tout genre, aux familles de vivre dignement sans subir la propagande nihiliste de la tromperie (Gleeden), de la frivolité (télé-réalité) et de l’endoctrinement idéologique des enfants (gender) ; et surtout, mettre un terme à l’immigration massive et à l’islamisation rampante du pays. C’est cela qu’on demande, et même exige, d’un candidat de droite.
La question du mariage pour tous n’est malheureusement qu’une « question annexe », la simple surface d’un immense abîme de perdition. Beaucoup l’ont compris. La plupart des glorieux manifestants des « mois sombres de la république » ne manifestaient pas (seulement) contre le mariage pour tous. Il manifestaient contre le nihilisme économique et moral qui se manifeste, avec une hargne de plus en plus violente, chaque jour qui passe en France et en Europe. Quand on voit les « grands » partis européens recevoir à Bruxelles, avec une joie toute nihiliste, des mutants comme Conchita Wurst, la farce commence à devenir tellement grossière que tout un chacun est apte à comprendre les enjeux et les causes. Quand on apprend, par la bouche d’un « des plus grand subversif » du pouvoir que « c’est une immense chance pour la France d’être le premier pays musulman d’Europe » (Edwy Plenel), on commence à se poser des questions plutôt radicales sur le devenir politique de la France, en particulier, et de l’Occident, en général.
Il est vrai que sur toutes ces questions, un politique « de droite » comme Nicolas Sarkozy n’a pas brillé par sa résistance acharnée. Qu’on ne fasse pas trop de plans sur la comète avec ce type ; ses dernières sorties avec NKM ou, plus récemment, avec BHL, ne donnent pas le ton de ce qu’il nous faut. Tant pis. À nous de prendre les choses en main. Dans les urnes ou… dans la rue."