Après le débat du la 3ème dose à 80 puis à 65 ans puis pour tout le monde, Olivier Véran vient de déclarer qu’il n’excluait pas une prolongation du passe sanitaire au-delà du 15 novembre. Seuls les naïfs seront surpris :
“Le pass sanitaire passera l’été, peut-être même l’automne. Le pass sanitaire pourrait être prolongé au-delà du 15 novembre “si le Covid ne disparaissait pas de nos vies” d’ici cette échéance fixée par la loi, a déclaré jeudi 26 août le ministre de la Santé, Olivier Véran.
“Ce pass ne peut être prolongé au-delà du 15 novembre, sans quoi il nous faudrait un nouveau texte de loi, qui serait à nouveau débattu au Parlement“, a rappelé M. Véran lors d’une conférence de presse.
“Je ne dis pas que ça ne peut pas arriver, ça pourrait arriver si le Covid ne disparaissait pas de nos vies dans les trois prochains mois“, a-t-il ajouté.”
zongadar
Elections par correspondance….comme aux US, ils ont des machines à d’occasion qui fonctionnent politiquement bien.
VIVANT
Excellent Zongadar. L’administration française ferait ainsi du recyclage écolo-bobo-dingo pendant que les chinois masqués vendent par centaines des centrales à charbons et construisent des centrales nucléaires décarbonées pour avoir la puissance politique. Le passe sanitaires est un passe politique qui est maintenant dans l’impasse politique. En Italie seuls les ‘non-tatoués au passe’ peuvent s’asseoir en terrasse ! Ainsi leurs restaurants ne sont pas des maisons de passe.
Prout
Cet imbécile ose nous dire qu’un virus peut disparaitre en 3 mois. Ce pauvre gogo n’a pas l’air de savoir qu’un virus ne disparait pas mais s’adapte et donc est là définitivement. Le sait-il ? Non alors c’est un incompétent. Oui : il nous prend pour des truffes
F. JACQUEL
@Prout
Un neurologue n’a pas de compétence particulière en virologie et, comme il ne supporte pad plus les crtiques que JUPITER, il s’est enfermé dans sa toir d’ivoire d’où il pontifie à coups de mensonges éhontés fondés sur des statistiques faussées.
AFumey
Non… les dés sont pipés: on ne parie pas sur quelque chose dont la réponse est connue.
Imposer le ‘passe’ pour aller voter, c’est éliminer toute une population d’opposants. C’est tout de même plus simple pour être réélu. Et nettement plus fiable que le trafic de votes par les machines ou le vote par correspondance. Une variante est d’imposer le vote par correspondance pour les récalcitrants: c’est encore plus efficace car en les transformant systématiquement en votes favorables, ce sera doublement jouissif.
Prédiction: il sera imposé à la dernière minute, pour entraver les recours juridiques.
Faliocha
On nous présentera Audrey Tcherkoff, dernier bébé d’Attali, un mois ou deux seulement avant. Et elle sera élue par un plébiscite de 80%, grâce aux votants vaccinés et aux moutons noirs par correspondance dont le vote sera, comme vous le dites, rectifié comme il convient
France Fougère
Nous avons vu les tours de prestidigitateur avant les élections où un bon candidat a été éjecté sous nos yeux sidérés.
Bien des personnes n’ont pas voulu comprendre et pourtant nous étions un certain nombre à vouloir ouvrir les yeux.
On peut s’attendre à tout – mais il faut voter.
philippe paternot
s’ils osent imposer le passe (avec un E à la française) va provoquer un absentéisme immense, c’est ce que le gouvzernement prévoit donc, et seul remède au manque d’entrain de ses électeurs qui n’ont pas brillé par leurs vote aux trois dernières élections
F. JACQUEL
Cela fait plus d’un an que j’en ai pris le pari dans ces commentaires : au nom de la “menace sanitaire”, et avec la complicité active et anxiogène des médias, le régime va imposer le vote par correspondance et le vote électronique, imposer le pass sanitaire pour accéder aux bureaux de vote, puis revendiquer une victoire au 1er tour de la présidentielle le 10 avril prochain : 60% des suffrages exprimés avec une participation de 20%. Élection aussi légale que celle de Joe Bidon puisqu’elle aura été immédiatement validée par les médias .
Mais quelle légitimité le régime pourra-t-il revendiquer ?
Foudras
Des constitutionnalistes avisés, déjà sidérés par “les éléphants” que le conseil constitutionnel a laissé passer depuis plus d’un an maintenant à plusieurs reprises, ont de grandes inquiétudes sur la tenue même de ces élections…