Plusieurs articles font état d'une soi-disante opposition du président français et de son premier ministre à la volonté de la commission européenne d'imposer des quotas de réfugiés aux différents pays de l'UE. Yves Daoudal a décrypté pour nous ce mensonge et ce double langage en citant notamment les propos sans ambiguïté de Natasha Bertaud, porte-parole de la Commission européenne :
"La France soutient notre proposition. Nous avons parlé avec le gouvernement français mardi, après les déclarations de Manuel Valls et de Bernard Cazeneuve, et il nous a répété qu’il était d’accord avec notre mécanisme contraignant de relocalisation des demandeurs d’asile afin de répartir l’effort entre les 28 États membres (…)
C’est manifestement le mot « quota » qui pose problème alors même qu’il ne figure pas dans nos propositions. Il y a aussi une confusion avec l’immigration de travail"
Dès le début, le Salon Beige avait signalé que cette idée de "quotas" était une initiative…française.
Robert Marchenoir
Comme d’habitude avec la perversité de la gauche, le choix du mot “quotas” est destiné à enfumer tout le monde.
Pour les gens normaux, mettre des quotas à l’immigration, c’est barrer la route aux immigrés.
Pour l’Union européenne, instaurer des quotas pour les immigrants illégaux du Camp des saints, c’est contraindre les pays membres à les accepter en masse.
C’est donc exactement le contraire. Nous sommes en pleine novlangue.
matamaures
Ca suffit, nous nous avons donné!!
pkm
Le titre énonce une évidence.
Ce qui me surprendrait, c’est de découvrir qu’ils ne mentent pas aux français.