Ou comment chercher à faire un “scoop” sans avoir lu le livre.
Radotage de la presse sur le dernier livre du Pape
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Gilles
Qu’on publie la ou les pages incriminées pour se faire une idée et ainsi clore la polémique.
Gilles
En complément, voici ce qu’on lisait dans un journal local paru en mars 1887 :
“…Les ennemis du Christ et de la religion… savent mieux apprécier la valeur de la propagande par la presse, par les livres et par tous les moyens de publicité. Ils savent que l’homme ne vit pas seulement de pain, et ils saturent le plus possible les intelligences de tous les mensonges, de toutes les erreurs, de toutes les calomnies colportées par des milliers et des millions de journaux et de brochures jetés à profusion dans les foules qu’elles égarent…”
Rien n’a changé.
piques-à-sots
lisant en ce moment le livre en question ,disons qu’il y a quelque chose d’essentiel qui échappe aux personnes portées à la critique négative ou à la recherche du “scoop”…..elles confondent (sciemment?)ce qui relève de la spiritualité totale et du Royaume des cieux avec les faits divers et les luttes de bas étage qui animent notre quotidien !
sans vouloir offenser quiconque , on ne peut mettre sur le même plan un théologien comme Benoit XVI et des plumitifs sur les sujets de cet ordre !
ROUSSEAU
Il n’y a rien là de nouveau. Tout le monde sait bien (ou devrait savoir) que le moine Denys le Petit s’est trompé dans la fixation de l’année de naissance du Christ. Je me rappelle que le Père Kowalski enseignait, il y a plusieurs années à l’Ecole Cathédrale, que Jésus était probablement né en l’an -8. On sait d’ailleurs que Jésus est né au temps de Hérode le Grand, qui est lui-même mort en -4. La plage la plus vraisemblable pour la naissance de Jésus, de l’avis des spécialistes (dont je ne suis pas), est -4 à -6.
Il n’y a pas là de quoi faire des titres à sensation. Et cela confirme, si besoin en était!, le sérieux de l’ouvrage du Saint Père.
Bernard DUJARDIN
Ces gens ont des diplômes, mais comme je l’ai toujours dit, cela ne veut pas dire intelligence. Laissons la bêtise à ceux qui la cultivent !