Lu ici :
"Ils dénoncent la "légèreté" de la juge d'instruction, "dont les conséquences ont été dramatiques". Le père, la mère ainsi que les grands-parents paternels d'Agnès Marin, violée et tuée en 2011 au Chambon-sur-Lignon, a adressé une lettre au Conseil de la magistrature, "il y a trois semaines", dans laquelle ils réclament des sanctions contre une juge, qui avait remis en liberté le meurtrier de l'adolescente, condamné pour viol dans une affaire précédente (…)
Dans leur lettre, les parents estiment que la juge qui a instruit la première affaire de viol "a fait preuve de manquements dans l'exercice de son métier de juge d'instruction". "Nous demandons au Conseil Supérieur de la Magistrature d'examiner ce dossier et de prononcer à son encontre une sanction disciplinaire", concluent-ils (…)"
Encore une famille dont le nom risque de terminer sur un certain mur…
Exupéry
Protestation et plainte tout à fait légitime! Malheureusement nombre de fonctionnaires et idéologues de ladite “légalité ripoublicaine” se moquent éperdument des victimes et se croient au dessus de la Justice Divine, à laquelle ils ne croient pas. Les pauvres, le réveil sera difficile !
stephe
Ils ont raison car il faut bien se dresser contre l’injustice d’Etat ne serait ce que pour la mémoire et l’honneur de leur fille, mais nous savons tous que le pot de terre à peu de chance de résister au pot de fer, surtout quant on connaît le nom et la mentalité du garde des sceaux qui insuffle un esprit détestable dans la magistrature avec l’aide du syndicat du même nom.
Phifou
Attention à la critique parfois trop facile faites aux juges. Rappelons aussi que le coupable de cette affaire n’avait que 17ans, il est récidiviste dans le viol (et non multi-récidiviste) et il était de plus sous control judiciaire.
Je ne prétends pas ici qu’il n’y a pas erreur du magistrat, mais prenons soin de connaitre le dossier avant de porter un jugement sur les magistrats et plus encore lorsqu’il s’agit de fait de mineurs.
La législation pour les mineurs est différentes dans l’application des peines. C’est aussi alors qu’ils sont mineurs que le juge à le plus d’espérance à donner : la possibilité de sauver le criminel est plus grande alors. Il faut trouver le juste milieu.
Soyons attentifs aux juges qui pour la plupart n’appartienne pas du tout au Syndicat de la Magistrature.