L’association l’Alvarium, basée à Angers, qui avait fait l’objet d’une dissolution en Conseil des ministres en novembre à l’initiative du ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, sur demande du maire d’Angers, Christophe Béchu, conteste sa dissolution, en déposant un recours lundi 17 janvier devant le Conseil d’Etat. L’avocat de l’association dénonce un
« manque de précision des incriminations ou une contestation de leur réalité. Par exemple, rue Thiers à Angers avec l’histoire des banderoles. Dans le décret, figure une présentation erronée. Ils se seraient battus. Dans cette affaire, les membres ont bénéficié d’une relaxe ».
D’après lui, le décret serait largement imprécis, voire erroné.
L’association, dont le principal objet était de venir en aide aux Angevins les plus défavorisés, est prête à aller jusqu’à la Cour européenne des droits de l’Homme.
Michel
Moussa, petit tyranneau de village, continue à faire de l’esbroufe pour masquer son incompétence notoire : s’attaquer à une association inoffensive, c’est plus facile que de s’en prendre aux trafiquants de drogue armés et organisés. Il est pitoyable dans ses gesticulations procédurières…
CesarevitchAlexei
Il est vrai aussi que les Français n’en pouvaient plus des exactions à répétitions des membres de l’Alvarium : mosquées saccagés, musulmans égorgés en pleine salle de classe, carnage dans la rue à l’occasion de l’Aid, …Cela ne pouvait plus durer !
Gaudete
Moussa comme les autres guignols de ce gouvernement me donnent envie de vomir dès que je les vois apparaître quelque part, qu’ils aillent rejoindre les poubelles de l’histoire, on n’a plus besoin de ces malfaisants