Tandis que la Syrie, isolée sur la scène internationale – l’Iran et la Turquie se désolidarisant d’elle -, clame son innocence et annonce une retrait partiel de ses troupes, le Premier ministre libanais envisage de démissionner sous certaines conditions. Bush souhaite un retrait total et Chirac exige que les législatives ne pourront se dérouler qu’après le retrait syrien.
Le bras de fer semble être à l’avantage de l’Occident…