La fin de la restauration était prévue pour le mois de février 2018. Mais l’échafaudage a pu être enlevé juste à la veille de Noël. Sculpteurs, céramistes et doreurs ont travaillé notamment sur les 39 statues. Mais le plus impressionnant est sans doute la restauration de la grande rosace centrale sur laquelle 12 000 feuilles d’or ont été posées.
L’arrière de l’édifice religieux, dans la perspective du boulevard Malesherbes, a besoin d’une nouvelle phase de travaux. Ce sera peut-être pour les prochaines années.
bébert
c’est un miracle! oeuvre de l’architecte Ballu, structure métallique
a.picadestats
Architecture ferronnière comme st Eugène st Cécile et Notre Dame du Travail.
Bravo aux artisans.
Bernard S
@Bébert
C’est Baltard qui est l’architecte de St Augustin; Théodore Ballu est celui de la Trinité.
Tonio
Il ne reste plus qu’à y restaurer la Liturgie de l’époque ceci dit sans exclusive aucune mais uniquement dans un esprit d’ouverture et d’amour des belles restaurations dans toutes leurs dimensions.
Stephe
Ce n’était pas trop tôt! Après avoir tant tardé. Je souhaite que nos décideurs ne se relachent pas trop vite s’ils souhaitent sauver le tourisme, me doutant bien qu’ils n’investissent pas pour les paroissiens.
Il y a sur Paris encore énormément à faire pour retrouver le lustre d’une Capitale.
Alice
12 000 feuilles d’or X 8 cm X 8 cm = 77 m2
Mais la rosace ne fait pas cette taille, puisque en grande partie en verre ? A 2 euros la feuille, 77 m2 coûtent quand même 24.000 euros, sans oublier la pose de la feuille et le prix du vernis.
Semper Fidelis
@ Alice :
Je trouve que c’est de l’argent bien dépensé ! Le budget du ministère de la culture ne devrait d’ailleurs servir qu’à la sauvegarde et la restauration de notre patrimoine culturel, et rien d’autre ! Ou bien s’il s’agit d’une commande de l’Etat bien sûr…