Propos de bon sens de Pascal Décaillet sur l'immigration :
"Réguler les flux migratoires, ça n'est pas être xénophobe. Ca n'est pas rejeter l'Autre, en tant que tel, ni affirmer une quelconque supériorité sur lui. Je crois, pour ma part, à l'égalité de chaque humain, sur cette terre. Nulle communauté, nulle race, nulle religion n'est supérieure à une autre.
Mais chaque nation a le droit – et même le devoir – de déterminer, après un débat interne et en fonction de ses lois (décision parlementaire ou démocratie directe), quel flux elle estime pouvoir supporter, donc accepter légalement, pour ne pas mettre en danger sa propre cohésion sociale. J'estime, pour ma part, et depuis toujours, que chaque nation a le droit d'établir la primauté aux siens, entendez ceux qui sont déjà sur son sol, par rapport aux gens de l'extérieur. Principalement dans l'accès au travail.
Cette primauté, que j'ai toujours prônée, ne signifie en rien supériorité. Non, c'est une mesure visant à préserver les équilibres sociaux internes, notamment en faveur des plus démunis : ce sont eux, et non les grands bourgeois, qui craignent les invasions migratoires, par peur que l'aide sociale ne leur soit diminuée, aux profit des nouveaux arrivants.
De ma vie, je n'ai jamais considéré la question migratoire comme relevant de la morale. D'ailleurs, peu de choses, à mes yeux, en politique, doivent en relever. Non, le rapport à la migration est une gestion d'équilibres démographiques, qui doit s'opérer sans la moindre haine, dans le respect des uns et des autres. Simplement,, l'intérêt supérieur de chaque nation exige parfois que cette dernière dise NON aux migrants.
C'est cela, à l'automne 2015, que Mme Merkel, sous pression d'un grand patronat avide de main d’œuvre peu regardante sur les conditions sociales et salariales, n'a pas voulu comprendre. Aujourd'hui, vient pour elle l'addition. Parce que le nouveau ministre fédéral allemand de l'Intérieur, le Ministre-Président de Bavière et chef de la CSU, Horst Seehofer, lui brandit le miroir de ses contradictions. Politiquement, la Chancelière n'est plus viable. Je doute qu'elle termine son mandat.
Dans un nouvel axe Nord-Sud qui coupe l'Europe en deux, et réunit l'Italie, l'Autriche et bientôt l'Allemagne, il n'est plus question de rêver face à l'incroyable pression migratoire qui pèse sur notre continent. Il faut remplacer les postures morales par le retour de la politique. Cela signifie : savoir dire NON."
DUPORT
“Nulle communauté, nulle race, nulle religion n’est supérieure à une autre.” (sic)
C’est effarant de lire cela ! Non tout ne se vaut pas.
D’autre part il ne sert à rien de venir argumenter sur une fausse problématique. L’invasion migratoire est provoqué et voulue dans le but de détruire nos pays. Il est normal que les traitres malfaisants qui organisent tout cela se protègent en criant haro sur ceux qui les dénoncent.
Il faut cesser de penser qu’en face ils sont de bonne volonté ou inconscient de ce qu’ils font.
S’opposer à cette invasion relève du simple bon sens et il est certain que tout le monde n’en a pas…
En amont de cette invasion migratoire il y a déjà les pays d’origine des migrants qui ont été détruits et déstabilisés sciemment afin de pousser les populations à fuir. Et quand cela ne suffit pas on les paye pour qu’ils quittent leurs pays respectifs…
Pour faire cesser l’invasion il faut stopper ceux qui la finance et aider les pays d’origine à se re-stabiliser.
Bernard Mitjavile
“..nulle religion n’est supérieure à une autre”, voilà qui ne paraît pas du tout être une réflexion de bon sens et pas non plus conforme à la foi chrétienne.
[C’est pourquoi j’ai précisé “sur l’immigration”.
MJ]
David
“nulle religion n’est supérieure à une autre.”
Encore un compromis avec le relativisme…
de Laubespin
“nulle religion n’est supérieure à une autre” écrit l’auteur de ce “propos de bon sens”. “A part celle révélée par le vrai Dieu, Père, Fils et St Esprit” me semble-t-il. Est-ce vraiment un “propos de bon sens” qui ne voit pas la différence entre la religion catholique et l’islam (et les autres)?
Le Forez
” Nulle religion est supérieure à une autre ” et bien si , il y a une religion de vérité ( religion Chretienne) et les autres , qui sont hérétiques. Pour le reste , je suis d accord . Ce sont des propos qui ressemblent à la Nouvelle Droite athée , qui me paraissent dangereux.
Hilaire
Un homme marié qui aime son épouse et lui est fidèle n’en fait pas pour autant automatiquement preuve d’irrespect pour les autres femmes, et souvent bien au contraire. Il en est de même pour les nationaux envers leur patrie et l’étranger.
De même que la fidélité n’a aucun rapport avec la mysogynie, le patriotisme n’a aucun rapport avec la xénophobie.
mouette
@Le Forez : vous m’avez ôté les mots de la bouche !
Bernard Mitjavile
A MJ, d’accord, vous aviez précisé “sur l’immigration” et vous faites un bon travail d’information. Ceci dit les défenseurs de l’immigration incontrôlée défendent aussi en général le relativisme religieux et culturel, tout se tient.
jacky.a
“nulle religion n’est supérieure à une autre.”
Le Christ nous dit dans les Évangiles…
“Je suis la voie, la vérité….”
Nul s’il ne passe par moi, ne peut accéder au Père…”
Il n’y a pas de supériorité….
il n’y a qu’une seule et unique voie…
et c’est bien là la simplicité….
Beffroi
Je ne sais pas pour les autres pays mais JAMAIS il n’a été demandé aux Français s’ils souhaitaient se retrouver étranger dans leur propre pays…
Maintenant ces étrangers ont pour la plupart choisi de mener leurs pays vers l’islam, le communisme et bien qu’ils assument !!! Contrairement aux Français à qui ont impose cette invasion, ils souhaitent ce que leurs pays vivent. Et en redemandent même en reproduisant ici ce qu’ils ont quitté. La Seins Saint Denis c’est islam + communisme par exemple dans certains endroits.
AFumey
Puis-je apporter un éclairage un peu différent?
Le reproche à l’encontre des responsables politiques qui contrôlent leurs frontières est essentiellement d’ordre moral: ils manqueraient de charité envers “les réfugiés”.
L’argument est pourtant aisé à retourner: le premier devoir, la première charité d’un responsable est de veiller à la sécurité des personnes, celles qui lui sont confiées naturellement, comme celles sur lesquelles il peut être amené à exercer la ‘force’ (vertu cardinale, non théologale).
De ce fait la charité commande de prévenir les désordres et risques de violences, que subiraient tant les populations accueillantes que lesdites ‘réfugiées’.
Par exemple divers services de renseignement de divers Etats donnent des mises en garde indépendantes et concordantes sur l’imminence d’une guerre civile, déclenchée par plusieurs milliers de terroristes infiltrés, qui frappent aveuglément tout le monde.
Dans les violences il faut naturellement inclure celles exercées par les passeurs (vol, viols…) et celles envers les Etats dépouillés de leurs forces vives qui seraient beaucoup plus utiles dans leurs propres pays: la véritable charité impose donc, à l’échelle d’un Etat, de s’efforcer de les dissuader de l’aventure (ex. de l’Australie, pourtant peu coupable d’un quelconque ‘conservatisme’).
Quid également de la violence exercée par les ressortissants étrangers, médecins, ingénieurs… qui bénéficient de l’aide de leur propre pays qui contribue à leurs études de diverses manières, et préfèrent priver leurs compatriotes, les plus démunis, de leurs compétences dont ils ont cruellement besoin, pour vivre confortablement à l’étranger – pour eux.
Non vraiment, sur le plan moral l’impératif est clair: tarir les flux migratoires; tout en portant secours naturellement au véritables victimes de guerres ou cataclysmes (mais il n’y en a pas beaucoup…)