Bernard Antony, président de l’AGRIF, directeur de la revue Reconquête, communique :
On ne regrettera évidemment pas le renvoi du gouvernement du calamiteux Pap Ndiaye, aussi indigéniste woke que philo-LGBT, ni celui de la spécialiste auto-proclamée en sorcellerie, Marlène Schiappa.
Les deux personnages pourraient, dit-on, se reconvertir conjointement en une fructueuse création d’une officine de conseil thérapeutique en parapsychologie transgenre et de modélisation crypto-vaudou.
Nommé à l’Éducation Nationale, le très macronéronien Gabriel Attal n’y sera pas moins activement pro-LGBTQ que Pap Ndiaye.
La seule innovation consiste peut-être en la nomination, imposée par Élisabeth Borne (ou plutôt sans bornes) de son très jacobin chef de cabinet Aurélien Rousseau au ministère de la Santé.
Portant très prémonitoirement le nom du père des totalitarismes, ce dernier fut dans sa jeunesse un ardent militant « bolcho ».
On n’imagine pas qu’un ancien militant nazi, s’il en existait, aurait pu être pareillement propulsé dans le gouvernement de la camarade Borne…
Rappelons pourtant, une fois encore, après Soljenitsyne, que
« le communisme tuait avant que le nazisme ne tue, qu’il tuait pendant que le nazisme tuait, et que le communisme extermine toujours alors que le nazisme, qui heureusement est mort, n’extermine plus ».