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Culture de mort : Idéologie du genre

Rendre gratuit le charcutage des adolescents ?

Rendre gratuit le charcutage des adolescents ?

Dans un projet de recommandations sur les personnes trans, actuellement en phase de relecture, la Haute Autorité de santé s’apprête à proposer une forme de service public de la transition de genre, avec accès gratuit à la transition de genre pour tous, à partir de 16 ans. Ce n’est pas comme si la France était surendettée…

Les charcutiers vont s’en donner à cœur joie.

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3 commentaires

  1. Et en même temps, les plaintes d’ex-trans se multiplient, comme vous nous en informez, et des pays qui étaient allés très loin reviennent en arrière pour les mineurs. Donc les 16-18 ans

  2. La grossesse ayant été considérée comme une maladie, par la Sécurité sociale, l’avortement est remboursé. Demain, sans doute en sera-t-il de même pour l’euthanasie, car ont soutien déjà que la vieillesse est une forme de dégénérescence de dignité, une maladie en somme. Entre les deux, la sexualité devient une anomalie qu’il faut corriger, comme une maladie. La vie elle-même est, dans l’esprit de certains, une maladie en soi. La solution, que l’on pourrait qualifier de finale, c’est la mort.

    Un peu de littérature poétique maintenant :

    LES ANIMAUX MALADES DE LA PESTE

    Un mal qui répand la terreur,
    Mal que le ciel en sa fureur
    Inventa pour punir les crimes de la terre,
    La peste (puisqu’il faut l’appeler par son nom),
    Capable d’enrichir en un jour l’Achéron,
    Faisait aux animaux la guerre.
    Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés :
    On n’en voyait point d’occupés
    À chercher le soutien d’une mourante vie ;
    Nul mets n’excitait leur envie ;
    Ni loups ni renards n’épiaient
    La douce et l’innocente proie ;
    Les tourterelles se fuyaient :
    Plus d’amour, partant plus de joie.
    [Le lion tint conseil, et dit : Mes chers amis,
    Je crois que le ciel a permis
    Pour nos péchés cette infortune.
    Que le plus coupable de nous
    Se sacrifie aux traits du céleste courroux ;
    Peut-être il obtiendra la guérison commune.
    L’histoire nous apprend qu’en de tels accidents
    On fait de pareils dévouements.
    Ne nous flattons donc point ; voyons sans indulgence
    L’état de notre conscience.
    Pour moi, satisfaisant mes appétits gloutons,
    J’ai dévoré force moutons.
    Que m’avaient-ils fait ? nulle offense ;
    Même il m’est arrivé quelquefois de manger
    Le Berger.
    Je me dévouerai donc, s’il le faut : mais je pense
    Qu’il est bon que chacun s’accuse ainsi que moi ;
    Car on doit souhaiter, selon toute justice,
    Que le plus coupable périsse.
    Sire, dit le renard, vous êtes trop bon roi ;
    Vos scrupules font voir trop de délicatesse.
    Eh bien ! manger moutons, canaille, sotte espèce,
    Est-ce un péché ? Non, non. Vous leur fîtes, Seigneur,
    En les croquant, beaucoup d’honneur ;
    Et quant au berger, l’on peut dire
    Qu’il était digne de tous maux,
    Étant de ces gens-là qui sur les animaux
    Se font un chimérique empire.
    Ainsi dit le renard ; et flatteurs d’applaudir.
    On n’osa trop approfondir
    Du tigre, ni de l’ours, ni des autres puissances,
    Les moins pardonnables offenses :
    Tous les gens querelleurs, jusqu’aux simples mâtins,
    Au dire de chacun, étaient de petits saints.]
    L’âne vint à son tour, et dit : J’ai souvenance
    Qu’en un pré de moines passant,
    La faim, l’occasion, l’herbe tendre, et, je pense,
    Quelque diable aussi me poussant,
    Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ;
    Je n’en avais nul droit, puisqu’il faut parler net.
    À ces mots, on cria haro sur le baudet.
    Un loup, quelque peu clerc, prouva par sa harangue
    Qu’il fallait dévouer ce maudit animal,
    Ce pelé, ce galeux, d’où venait tout leur mal.
    Sa peccadille fut jugée un cas pendable.
    Manger l’herbe d’autrui ! quel crime abominable !
    Rien que la mort n’était capable
    D’expier son forfait. On le lui fit bien voir.
    Selon que vous serez puissant ou misérable,
    Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.

    LA FONTAINE, Fables, VII, 1 (1678-79).

  3. Eh bien, cela va faire des “envieux”. Entre un ado garçon qui veut changer de sexe parce que il ne se trouve pas belle, l’ado qui veut changer de sexe parce qu’elle ne se trouve pas beau, et puis toutes celles qui veulent faire de la chirurgie esthétiques parce qu’elles ne se trouvent pas belles….. Tout cela peut coûter très cher si on rembourse les changements de sexe puis qu’on applique le principe d’égalité, sans compter l’ineptie de toutes ces opérations, à un âge où il faut apprendre, pour certains, à aimer son corps, et même à aller jusqu’à aimer ses limites (comme sainte Thérèse a su le faire). L’homme qui veut être plus ou autre que ce qu’il est, n’est-ce pas le vieux péché d’Adam et Eve qui ont voulu être comme des Dieux, ne se contentant plus de ce qu’ils étaient tels qu’ils avaient été créés?

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