L’archevêque de Paris Mgr Laurent Ulrich a cédé. Esquissant les contours de la cérémonie de réouverture de Notre-Dame de Paris, il a évoqué une prise de parole d’Emmanuel Macron « dans la cathédrale » le 7 décembre.
Au cours de cette cérémonie « le président de la République prendra la parole pour dire, nous avons tenu le pari » d’une réouverture en cinq ans. Emmanuel Macron parlera « dans la cathédrale » et non sur le parvis.
« On va peut-être couper un ruban, mais ce qui est sûr est surtout que je vais frapper à la porte de la cathédrale » pour signifier « que de nouveau le clergé et le peuple sont dans la cathédrale pour le service de Dieu ».
La cérémonie comportera un « éveil de l’orgue » principal qui a été « complètement démonté, nettoyé, et remis en état de marche » et « le magnificat qui va conclure la prière des vêpres ».
Le dimanche 8 décembre aura lieu « la première messe au cours de laquelle je consacrerai le nouvel autel ».
TontonJean
Attention, ce président anti-français, donc anti-catholique, souhaiterait peut-être aussi que la statue de la déesse “raison” soit sur l’autel, qui ressemble au bureau des sociétés secrètes!
Collapsus
Qu’à cette occasion, Notre Dame de Paris convertisse ce funeste personnage dédié au malheur, au mensonge, au chaos et au nihilisme, en un mot au mal. La tâche ne sera pas facile.
France Fougère
Il faudrait un miracle ! Qui pourrait se produire sur le parvis, là où est sa place.
Oui, le mal, sous une apparence plaisante à première vue, du moins pour les personnes qui ont voté pour lui ( pas notre famille).
Guillemard
A ma connaissance Macron sera le premier Chef d’Etat à prendre la parole dans la cathédrale Notre Dame de Paris. Ce que les rois, les empereurs, les présidents de la république n’ont pas osé faire lui va prendre la parole devant un archevêque inconsistant qui a cédé (sans beaucoup de résistance).
Garde67
Drôle de laïcité : la République s’exprime dans la cathédrale Notre Dame de Paris, tandis qu’elle brime l’école catholique.
Et l’Église cède au caprice d’un Président de plus en plus détesté ! Est-ce par pitié ou par soumission ?
Que la très Sainte Vierge accueille ce mécréant et lui montre la voie de la Sagesse et de la Vérité.
Jerome
L’Église et l’État sera t elle réunie ? A quand la séparation de l’état et la francs maçonnerie
Gaudete
Franchement on savait les évêques sans comment on pourrait dire là ça bat tous les records de dhimmitude. J’ose espérer que quand cet ignoble personnage va commencer son discours les gens vont sortir et rentreront de nouveau quand il aura fini il détruit le Christ avec l’ouverture des jeux olympiques et l’évêque se met à genoux devant lui , je plains Ulrich quand il va paraître devant le Roi de gloire
EROUANI
Il faut se garder de tout emballement.
Notre-Dame de Paris appartient à l’État en vertu de la loi du 9 décembre 1905 dite de séparation des Églises et de l’État après que l’Église de France a sur ordre du pape Pie X refusé de constituer des associations cultuelles.
L’édifice est laissé gratuitement à la disposition de l’Église catholique pour y célébrer le culte.
Le Président de la République y est donc le maître, peut y entrer et prendre la parole en accord avec le clergé.
C’est sur cette base que le 26 août 1944 le Général De Gaulle, chef du gouvernement provisoire, a fait dire un TE DEUM après la libération de Paris de l’occupant allemand.
Monseigneur Ulrich s’est déjà opposé à une remise des clés par Emmanuel Macron en arguant qu’il avait toujours l’usage des lieux.
Il lui était peut-être difficile d’aller plus loin. Politique oblige.
F. JACQUEL
Le pâle toqué élyséen va nous abreuver d’une de ses logorrhées dont il a le secret : 2 heures (au moins) d’autosatisfaction pour nous expliquer que rien n’aurait été possible sans son intervention personnelle.
Deux sujets qui resteront certainement sans explication ni réponse :
– plus de 5 ans après, les causes RÉELLES de l’incendie ne sont toujours pas connues ;
– les causes RÉELLES de l'”accident de montagne” survenu fort opportunément au Général Georgelin ne sont pas plus connues.
Ayant personnellement connu et côtoyé le Capitaine Georgelin en 1976 quand il commandait la CEB du 153ème RI, et au vu de sa magnifique carrière militaire, je suis certain que celui qui fut CEMA puis Grand Chancelier de la Légion d’honneur, grand marcheur montagnard, ait commis une erreur au cours d’une sortie ordinaire en montagne.
Une fois de plus, le “bon plaisir du tyran” va piétiner des siècles d’usage et faire ce qu’aucun chef d’État n’a jamais osé.
Il justifie une fois de plus le célèbre aphorisme du regretté Michel Audiard.