Le Tribunal administratif de Limoges a été saisi le 19 décembre par la préfecture de l'Indre d'une requête pour l'annulation d'une délibération contre la loi Taubira prise par la commune de Fontgombault. La délibération a été adoptée le 24 octobre dernier par sept des neuf conseillers municipaux.
Le conseil municipal refuse de procéder à un mariage entre deux personnes de même sexe, au nom de la "loi naturelle, supérieure aux lois humaines". La délibération indique que dans le cas où le maire et ses adjoints seraient contraints de célébrer des unions entre personnes de même sexe, ils démissionneraient immédiatement.
La date de l'audience n'est pas encore connue.
esprit libre
On ne peut qu’avoir du respect et de la sympathie pour ce petit conseil municipal qui, avec d’autres, entretient la flamme de la Résistance alors que se met déjà en place un appareil répressif à la fois administratif et judiciaire…
claude
Franchement, Fonthombault c’est vraiment tout petit, que n’ont ils choisi Le Blanc dirigé par le PS depuis belle lurette.
On voit bien la manigance, ricochet contre l’Abbaye.
Derrière tout ça un “journaliste” de la Nouvelle République.
René Clémenti
Soutien au maire et à son conseil!
ONLR
nemo
Admirable Fontgombault !
cela va donner du courage aux maires
Tonio
les administratifs de limoges ? ce ne serait par hasard des gens qui ont été limogés ? pour une raison ou pour une autre ? Je pose juste la question .
ralebol
Fontgombault aujourd’hui c’est l’Ile de Sein de 1940.
La flamme de la Résistance veille et ne s’éteindra pas.
Jeanne
Ils ont du courage!