Lu sur le blog d'Yves Daoudal :
"En Equateur, les partisans de la
culture de mort avaient cru trouver un moyen de dépénaliser certains
avortements. Puisque les tentatives de faire passer une loi échouent, on
va carrément profiter de la réforme du code pénal… Une femme député de
l’Alianza, le parti de gauche du président Rafael Correa, a proposé une
motion en ce sens. Le président en a été informé, et a fait savoir que
s’il y avait une majorité pour voter cette motion il démissionnerait
immédiatement. « Qu’ils fassent ce qu’ils veulent, moi, je n’autoriserai jamais la dépénalisation de l’avortement », a-t-il rappelé à la télévision.Plutôt que de risquer une scission du parti, le député a retiré sa motion…"