On se souvient que les gendarmes s'étaient rendus à l'abbaye bénédictine du Barroux ou le fugitif était déjà allé il y a plusieurs années. J'avais réécrit le propos du père abbé rapporté par Le Parisien :
"Si nous l’avions vu, nous l’aurions dénoncé".
Un lecteur m'indique aujourd'hui cet article du 15 mai de La Provence, dans lequel le père abbé précise :
"Contrairement à ce qu'écrit votre confrère, je n'ai jamais dit que "si nous l'avions vu nous l'aurions dénoncé". C'est moche d'écrire cela. Non, nous l'aurions invité à se dénoncer, ce qui est différent. Cet homme, s'il a commis ces crimes, doit s'en expliquer et en répondre. Son cousin nous a demandé de prier pour lui et son repentir."