Hier, la commission des lois de l’Assemblée nationale a considéré que le «plus sage» était de ne rien changer au dispositif, adopté en 2005, qui prévoit de soumettre à référendum obligatoire toute demande d’adhésion à l’Union européenne postérieure à celle de la Croatie. Ce qui permet l’abandon de l’idée d’un référendum d’initiative populaire spécifique aux questions d’adhésion. C’est un sérieux camouflet pour le Premier ministre.
Affaire à suivre.