Lu sur le blog de Jeanne Smits :
"Exemple caractéristique de rigueur budgétaire, en Catalogne : la « Généralité », qui assure le gouvernement autonome de cette province espagnole, vient d'octroyer la somme de 498.756,72 euros par mois à deux cliniques privées de Barcelone en vue de faciliter la pratique des avortements, sur la base d'une estimation de 1.068 interventions mensuelles prévues conjointement par elles. […] Les fonds publics à débourser ont été calculés suivant le barème du coût de l'« IVG », comme l'indique Javier Molina, journaliste à Intereconomia. Dans sa résolution du 8 juillet dernier, la « Generalitat » retient le prix de 1.300 euros pour un avortement à 20-22 semaines (40 opérations prévues) ; les avortements à 16-19 semaines avec anesthésie générale sont facturés 715 euros (100 cas prévus par mois). […] Javier Molina souligne que dans le même temps, rigueur oblige, les coupes budgétaires sont en train de faire diminuer le nombre de lits disponibles dans les hôpitaux et les horaires d'accueil de nuit…"
ID
Le prix à payer pour le culte de Baal…
Seigneur, ais pitié d’eux !
Mavel
Là-bas, l’avortement tardif est un business local juteux, comme la fécondation in vitro avec vente de sperme sur place pour futures mères célibataires ou homosexuelles et également comme les gigas-bordels bondés de clients Français.
C’est la modernité, comme ils disent. Et avec ça, on réclame plus d’autonomie fiscale.
Heureusement, la Catalogne du sud a aussi ses bons côtés.