Que les lecteurs me pardonnent : Le Salon Beige a décidé de parler du "débat" interne au PS. Nos médias nous bassinent à qui mieux mieux relevant les différences entre chaque candidats. Sauf que… Sauf que ces candidats se sont tous engagés à ouvrir le mariage et l’adoption aux couples homosexuels. Dans Présent, Jean Cochet montre que les 3 sont unanimes sur ce point. A noter que Fabius estime clairement que cet objectif n’est pas démocratique (en plus d’être immoral et antisocial) :
"[I]l faudra en convaincre l’opinion, et ce ne sera pas facile. […] Mais on y viendra. […] C’est le rôle du président de la République de montrer les chemins de l’avenir".
Vince
“Il faudra en convaincre l’opinion”.
Doit-on comprendre qu’il faut qu’on se fasse travailler et éduquer par l’état pour enfin appeller de nos veux les affres de la décadence ?
On ne pourra pas reprocher à Fabius de mentir dans son programme, il cherche simplement à nous endoctriner.
Un jour, la liberté …
Vincent
Pef
Ces 3 politiciens sont particuliérement répugnants; ils sont prêts à sacrifier des enfants pour se rapprocher du pouvoir et corrompre toujours plus ce pays.
Les 3 sont fanatiquement anticatholiques; on se souvient de fabius à la présidence de l’assemblée qui rappelait en 1990 que”les docteurs de l’Eglise ont discuté pendant des siécles pour savoir si les femmes avaient une âme”, le tout avec la gravité grotesque de scribe égyptien qu’on lui connaît.
Il s’agit bien évidemment d’un mensonge grossier, un montage historique de la propagande anticatholique et anticléricale, une mesquine petite calomnie qu’un peu d’honnêteté suffit à écarter.
Comment faire confiance à de tels clowns, dont la vie est fondée sur des mensonges et sur la haine pour leur pays ?
D
Le pire, c’est que cela passionnent des milliers de téléspectateurs, qui s’empressent le lendemain d’en parler à la machine à café ! Imaginez l’enjeu : déjà je ne vois pas de différence notoire entre l’UMP et le PS, qui se disputent les meilleures idées pour détruire la France, alors au sein même du PS : quelle pluralité ! Comme le disait Ernest-Antoine
Seillière : “Avant, on avançait dans la mauvaise direction ; maintenant, on recule dans la bonne »…