On en parlait ici. Le Progrès revient sur cette affaire qui ne crée pas de polémique. C'est le constat de l'Allahicité à la française : si demain on organisait un repas pascal dans les salons de l'Hôtel de ville de Lyon, on pourrait être certain de voir se manifester les chiens de garde du laïcisme. Mais comme il s'agit de la rupture du jeûne du ramadan, comme le dit Michel Forissier, secrétaire départemental de l'UMP (dans l'opposition à Lyon), il ne faut pas «ouvrir de polémique».
Rupture du jeûne à la mairie de Lyon : pas d’opposition
5 commentaires
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Eric
Mais justement, alors pourquoi ne le leurs demandons pas ?
Histoire de les mettre devant leurs contradictions.
De toutes façons l’administration de l’État appartient à Dieu, donc aux catholiques.
A croire que la télé maçonnique a fait perdre confiance aux catholiques.
PK
Je propose que l’on voile les femmes qui travaillent à la mairie de Lyon par respect pour toutes les musulmanes de France.
Et puis, on les mariera aussi : en les groupant par quatre, elle pourront alors épouser l’homme de leur rêve… que l’on leur choisira.
Tout cela par respect envers nos hôtes bien sûr.
Ethos
Bien vu Eric!
Vous avez raison et ce sont les laïcs et les clercs qui doivent entrainer les autorités locales, comme autrefois.
A cette fin, il faudrait que le jeûne des catholiques ne soit pas que “spirituel” mais surtout un jeûne authentique fait de mortification du corps par les privations alimentaires infligées volontairement.
Je rêve.
youpi !!
j’ai entendu, à la radio, que certaines entreprises aménagent le temps de travail des mahométans en temps de ramadan car il est difficile pour eux d’assurer correctement leur fonction quand ils jeûnent………
Et nous, nous devrions travailler le dimanche ?
La République n’est laïque que pour certains, c’est révoltant !!!
free
@youpi
Il suffirait que les catholiques (et chrétiens) dignent de ce nom, ne se gênent pas pour assurer leur temps de travail qui leur permettraient de participer aux cérémonies essentielles de leur tradition (Noël, Jeudi Saint, Vendredi Saint, Pâques, Ascension, Pentecôte et les dimanches).
Si on fait des faveurs aux uns, il est obligé de les faire aux autres. Il me fut demandé, lors d’un entretien, si j’accepterais, en cas exceptionnels, de travailler le dimanche. J’ai répondu : jamais, surtout le matin car je vais à la messe.
Je ne me suis pas gêné de le dire … et il n’y a pas eu d’autres commentaires.