Il est temps que le journaliste du Monde revoie la langue française. Il titre :
"La permanence d'Erwann Binet saccagée"
Ce qui se traduit dans les faits par :
"La porte vitrée du local a été marquée d'impacts, des pneus ont été incendiés devant la porte d'entrée et des tracts indiquant "Pas de binet à Lyon 3" ont été collés sur sa façade."