"Il y désormais une attaque islamiste hebdomadaire en France. Si l’on considère l’Europe entière, les attentats sont quotidiens.
L’écœurement devant le battage médiatico-politique pour prôner le « pas d’amalgame » a saisi beaucoup de Français. Sos Racisme essaye de se disculper en inventant une responsabilité d’extrême droite à l’Etat islamique. Les médias passent en boucle des condamnations musulmanes alors que la mosquée Al Azhar ne condamne toujours pas les actes islamistes violents. D’autres hésitent avant de savoir si Allahou Akbhar est une affirmation islamiste ou non.
Il est un aspect singulier de cette attaque qui n’est pas assez relevé : elle est christianophobe. C’est-à-dire que l’État islamique vise la France parce qu’elle est catholique et qu’elle participerait au monde « croisé ». Il faut dire clairement que l’État islamique ne cherche pas à nous diviser puisque la Nation française l’est déjà, il faut dire clairement que Daesh ne cherche pas à étendre la haine mais poursuit un objectif théologico-politique précis, il faut dire clairement que l’État n’a pas choisi de protéger efficacement les Églises.
Il faut dire également, comme on pouvait le lire dans le Figaro hier, que c’est une réponse identitaire qu’il faut apporter à cette attaque identitaire. Quand Dieu donne un martyr, il donne aussi un témoignage sur les solutions à apporter à nos drames. Face au millénarisme islamiste, c’est la transcendance chrétienne que nous devons porter. Ne pas construire de mosquées mais rétablir nos églises, ne pas accepter les signes extérieurs islamiques qui sont une offensive concrète. C’est en effet une attaque essentielle qui est portée contre notre civilisation comme on peut le lire chez l’abbé de Tanouarn :
« Adel K vient d’un monde a-chrétien, d’un monde encore moralement archaïque, où les victimes sont toujours coupables, ne serait-ce que parce qu’elles sont des victimes. Il a voulu montrer au Père Jacques sa culpabilité et la Puissance d’Allah. Allah ouakbar s’est-il écrié. Allah est le plus grand, il est vainqueur. Dans ce sacrifice de mécréant, qu’il a commandé (voyez la sourate 9 du Coran) et donc en quelque sorte commandité, dans ce sacrifice réalisé en son honneur, Allah désigne le vaincu, celui dont le sang coule sous le couteau. Ce crime, pour les musulmans radicaux, est une sorte d’ordalie. Un jugement de Dieu, qui déclare la non-violence chrétienne périmée et sonne l’heure de la violence sacrée, au nom de l’islam ».
Les assaillants firent des sermons en arabe, forcèrent le prêtre à s’agenouiller avant de l’égorger, et leur attaque fût immédiatement revendiquée. Saint-Etienne-du-Rouvray est une ville marquée par le Grand Remplacement et le développement d’un islam fanatique, offensif et prosélyte. Elle prouve que l’islamisation de la France est un phénomène qui « algérise notre pays ». Elle prouve que des racailles islamistes s’en prennent aux chrétiens, aux écoles, aux passants.
Poursuivons sur les détails disponibles. L’un des terroristes avait tenté de rejoindre les rebelles islamistes syriens et fût refoulé de Turquie. C’était un animateur des milieux islamiques, soumis à un contrôle judiciaire très relâché et libéré par un magistrat coupable alors qu’il aurait dû être maintenu en détention. La mise en scène macabre par un fiché S alors que les détails de l’attaque de Nice s’accumulent prouvent que les Français sont abandonnés à toutes les passions islamistes.
L’État est coupable et responsable. Des condamnés récidivistes et des Français de papiers, voilà le profil des islamistes qui passent à l’acte exprimant là ce qui réside en puissance dans maintes parties des écoles de l’islam. Des députés socialistes qui ont fait un théâtre de bien pensance au lendemain de l’attentat de la promenade des Anglais. Des ministres en place alors qu’ils sont coupables d’idéologie d’Etat.
La christianophobie sanglante de l’islamisme est violente, virulente et combattante. Il faut enfin que la Nation reprenne à un État incapable les moyens de se défendre."